Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    39 266,35
    +209,96 (+0,54 %)
     
  • Nasdaq

    16 347,82
    +45,07 (+0,28 %)
     
  • Nikkei 225

    38 073,98
    -128,39 (-0,34 %)
     
  • EUR/USD

    1,0782
    +0,0030 (+0,28 %)
     
  • HANG SENG

    18 537,81
    +223,95 (+1,22 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 459,51
    -568,18 (-0,98 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 332,44
    +32,34 (+2,49 %)
     
  • S&P 500

    5 206,25
    +18,58 (+0,36 %)
     

Des résidences secondaires incendiées en Bretagne, que veut l’organisation FLB derrière tout ça ?

Николай Егошин / Pixabay

Le Front de libération de la Bretagne (FLB) refait surface dans l'actualité après des décennies de silence. Une série de dégradations et d'incendies commis dans la région ces derniers mois a été revendiquée par cette organisation, autrefois active dans les années 1960-1980, rapporte Le Parisien. Une lettre envoyée aux médias régionaux la semaine dernière, signée par trois individus se présentant comme des représentants du "Kuzul Meur" (le "grand conseil") et accompagnée d'une photographie de trois hommes cagoulés, prétend que le FLB a "repris le combat pour le peuple breton".

Les actions revendiquées par cette soi-disant résurgence du FLB sont présentées comme des "opérations de représailles" face à la "crise du logement" et à l' "emprise de l'État colonial français" sur la région. Six actions, principalement des incendies de résidences secondaires depuis 2017, sont citées dans la missive. Ses auteurs revendiquent notamment la destruction partielle de la maison secondaire d'un préfet en juin dernier à Trébeurden (Côtes-d'Armor). Des déclarations prises très au sérieux par la préfecture, qui a indiqué à nos confrères qu’une “enquête judiciaire confiée à la PJ est en cours sous l’autorité du procureur”.

L’enquête devra déterminer l'authenticité de ces revendications et comprendre si le FLB est réellement réapparu avec des intentions déterminées, ou si des individus isolés cherchent simplement à s'inscrire dans la filiation de cette organisation historique. À l’époque, l’organisation (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite