Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 219,14
    +31,49 (+0,38 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 085,08
    +30,67 (+0,61 %)
     
  • Dow Jones

    39 512,84
    +125,08 (+0,32 %)
     
  • EUR/USD

    1,0772
    -0,0012 (-0,11 %)
     
  • Gold future

    2 366,90
    +26,60 (+1,14 %)
     
  • Bitcoin EUR

    56 459,61
    -1 836,03 (-3,15 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 261,13
    -96,88 (-7,13 %)
     
  • Pétrole WTI

    78,20
    -1,06 (-1,34 %)
     
  • DAX

    18 772,85
    +86,25 (+0,46 %)
     
  • FTSE 100

    8 433,76
    +52,41 (+0,63 %)
     
  • Nasdaq

    16 340,87
    -5,40 (-0,03 %)
     
  • S&P 500

    5 222,68
    +8,60 (+0,16 %)
     
  • Nikkei 225

    38 229,11
    +155,13 (+0,41 %)
     
  • HANG SENG

    18 963,68
    +425,87 (+2,30 %)
     
  • GBP/USD

    1,2525
    +0,0001 (+0,01 %)
     

Près de la moitié des salariés français en détresse psychologique, selon une étude

slon_pics / Pixabay

Les Français sont fatigués. C’est ce que révèle le dernier baromètre OpinionWay pour le cabinet Empreinte humaine publié mi-février. D’après ce sondage établi sur le témoignage de 2.000 personnes, plus d’un salarié sur quatre confie être à deux doigts du burn-out. Près de la moitié (44 %) présente même de la détresse psychologique, accompagnée des symptômes de dépression et d’épuisement, liés pour 74 % d’entre eux au travail, rapporte Le Parisien.

Et les employés les plus sujets au burn-out sont les femmes (49 %), les moins de 29 ans (55 %) et les managers (44 %). Pour l’auteur de cette enquête, Christophe Nguyen, psychologue du travail, et président du cabinet Empreinte Humaine, ces chiffres sont la conséquence directe d’une surcharge mentale due aux trop grandes amplitudes de travail. D’après lui, ce sont l’empilement des tâches administratives, de plus en plus importantes, les process de reporting et les « temps idiots » qui empêchent les travailleurs de concentrer leur énergie sur le cœur de leur profession.

« La fatigue est importante : 40 % se disent épuisés au travail. Ce n’est pas une flemme, mais un indicateur de mauvaise santé », assure-t-il. Et d’après lui, les salariés ne sont pas les seuls à en souffrir. « Les conséquences sur l’absentéisme, les arrêts-maladie, le turnover ou le rapport dégradé au travail continueront certainement à être observées dans les prochains mois tant que des actions de fond ne seront pas menées », assène-t-il. Et à ce jeu-là, les entreprises (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Droit de retrait : que dit la loi en cas de température extrême ?
Les 500 meilleurs employeurs de France : le classement 2023
Reconversion ou montée en compétences : qu’attendre de la formation continue ?
Voici les 10 métiers qui recrutent le plus de cadres
Égalité femmes-hommes : votre entreprise est-elle à la traîne en 2023 ?