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Des pilules progestatives augmenteraient le risque de tumeur au cerveau, révèle une étude

Andrzej Tokarski / Adobe Stock

Un nouveau scandale sanitaire ? Trois médicaments progestatifs ont été analysés par les équipes d’Alain Weill, directeur adjoint du groupement Epi-Phare, alliance de l’Assurance maladie et de l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM). Et le constat est accablant : l’utilisation sur une durée supérieure à un an entrainerait un risque accru de tumeur des méninges. Une intervention chirurgicale est alors nécessaire. L’étude, publiée dans le British Medical Journal et relayée par Le Parisien, le 27 mars 2024, montre aussi que le risque est différent selon les médicaments progestatifs étudiés, qui peuvent être utilisés comme contraceptifs. Ainsi, il est deux fois plus important pour le Surgestone, 3,5 fois pour le Colprone et 5,6 pour le Depo Provera.

Précédemment, d’autres études avaient mis en lumière ces risques de tumeur, mais pour d’autres médicaments que sont le Lutéran, le Lutenyl et l’Androcur. Dès lors, des milliers de Françaises avaient opté pour le Colprone afin de remplacer leur solution initiale. Le médicament avait vu le nombre de ses consommatrices passer de 10 000 à 30 000 en trois ans. Ces dernières ne présentent aucun risque accru de développer des tumeurs si le traitement a été pris pendant moins d’un an. Toutefois, Alain Weill rappelle dans les colonnes du Parisien que «si les femmes ont utilisé un autre progestatif à risque avant de passer au Colprone, elles présentent un risque accru de méningiome sans attendre un an».

Pour ce qui du Depo Provera, il (...)

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