Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 088,24
    +71,59 (+0,89 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 006,85
    +67,84 (+1,37 %)
     
  • Dow Jones

    38 269,83
    +184,03 (+0,48 %)
     
  • EUR/USD

    1,0701
    -0,0032 (-0,30 %)
     
  • Gold future

    2 349,20
    +6,70 (+0,29 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 689,29
    -680,35 (-1,13 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 331,56
    -64,98 (-4,49 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,63
    +0,06 (+0,07 %)
     
  • DAX

    18 161,01
    +243,73 (+1,36 %)
     
  • FTSE 100

    8 139,83
    +60,97 (+0,75 %)
     
  • Nasdaq

    15 948,10
    +336,34 (+2,15 %)
     
  • S&P 500

    5 105,74
    +57,32 (+1,14 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2492
    -0,0019 (-0,15 %)
     

Perte d’un enfant : d’insupportables disparités mondiales…

« Combien avez-vous d’enfants ? » Une question banale dans nos contrées, suivie bien souvent d’une seconde, dans de nombreux pays défavorisés : « combien avez-vous eu de grossesses ? » Frappée d’un sceau dramatique, cette question correspond malheureusement à la prise en compte des taux importants de mortalité juvénile (enfant de moins de cinq ans), néonatale (nourrissons de moins d’un mois) ou infantile (moins d’un an).

« Nous proposons les premières estimations mondiales du nombre cumulé de décès d’enfants vécus par les mères de 20 à 49 ans », souligne Emily Smith-Greenaway, de la University of Southern California de Los Angeles. Les comparaisons internationales font froid dans le dos. L’Espagne, la Finlande, Hong Kong, le Japon, l’Islande, Singapour et la Suède, sont les 7 pays dans lesquels la proportion de mères qui ont perdu un enfant de moins d’un est la plus basse avec un taux inférieur à 5 pour 1 000.

A l’opposé, dans 16 pays d’Afrique sub-saharienne, 200 mères sur 1 000 – soit une sur cinq… – ont vécu un tel drame ! Dans 34 pays – en Afrique principalement : 150 pour 1 000 ! Une sur sept ! « Nous espérons que ce travail mettra l’accent sur l’importance de réaliser de nouveaux efforts pour réduire la mortalité infantile et améliorer non seulement la qualité et la durée de vie des enfants à travers le monde. Mais aussi celle des parents…», conclut Emily Smith-Greenaway.