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Comment les nouveaux rois de la pharma menacent les géants de la malbouffe

Illustration Capital/Freepik

Des centaines de millions de patients potentiels, diabétiques ou obèses, des investissements colossaux dans les capacités de production et la recherche, des espoirs thérapeutiques immenses et la probable déclinaison de la molécule sous forme de pilule... Novo Nordisk et Eli Lilly sont les porte-drapeaux d'une nouvelle génération de médicaments sacrément prometteurs, les anti-diabétiques dits GLP-1, comme vous avez pu le lire dans le premier épisode de notre enquête.

Mais à l’autre bout de la chaîne alimentaire, cette révolution médicale menace de renverser quelques géants de la (mal)bouffe. Puisqu’il est écrit que ces traitements accélèrent le sentiment de satiété, difficile alors pour un patient d’aller au bout d’un Big Mac ou de dévorer un paquet de M&M’s. Depuis quelques mois, la question des GLP-1 s’est d’ailleurs invitée aux publications de résultats et assemblées générales de la plupart des acteurs de l’agroalimentaire et de la restauration, à l’image de Coca-Cola, McDonald’s, Nestlé ou PepsiCo.

La première salve est venue de Walmart, lorsque le numéro 1 américain de la distribution a révélé que, si le chiffre d’affaires de ses supermarchés avait bénéficié de l’envol des ventes d’Ozempic (Novo Nordisk), Mounjaro (Eli Lilly) et autres, qu’il commercialise dans ses magasins, ses bénéfices pâtissaient par contre d’une baisse de la consommation de produits alimentaires de la part des clients concernés. Une catégorie sur laquelle Walmart réalise davantage de marges. Quelques (...)

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