Un nouveau Capital pour un monde nouveau

Pourquoi un nouveau Capital après trente-deux ans de bons et loyaux services ? Parce que le monde a changé, bien sûr, mais plus encore parce que les transformations à venir vont bouleverser nos vies dans des proportions encore difficilement imaginables. La démocratisation de l’intelligence artificielle, la nécessaire adaptation au réchauffement climatique, un rapport au travail percuté par le télétravail post-Covid et l’arrivée d’une génération Z qui met la notion de sens et l’équilibre vie pro-vie perso au centre de ses préoccupations… Une nouvelle page de l’histoire est en train de s’écrire à grande vitesse sous nos yeux.

Pour décrypter les coulisses de l’économie avec la même pertinence, votre magazine devait s’imposer une saine introspection et faire son aggiornamento. Il y a la forme, bien sûr, plus moderne et épurée, avec un papier de meilleure qualité pour accroître le confort de lecture. Mais il y a surtout le fond. Dans un monde où une actualité chasse l’autre et où l’assourdissante caisse de résonance des réseaux sociaux empêche trop souvent de distinguer l’écume des vagues de fond, Capital fait le pari du temps long : celui de l’enquête, du reportage, de l’écriture ciselée, du recul nécessaire à l’analyse. Le tout porté par un rubriquage entièrement repensé, à l’instar des «Mondes de demain», où l’on se penchera sur les grandes dynamiques en matière d’environnement et de nouvelles technologies, avec un regard progressiste mais jamais naïf.

Pourquoi «Les mondes de demain» ? (...)

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