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La mirtazapine, souvent prescrite chez les personnes âgées démentes, serait inefficace, voire dangereuse

Les antidépresseurs ne sont pas le premier recours palliatif pour les personnes âgées qui souffrent de démence. Mais ils peuvent être prescrits dans certains cas lorsque la personne manifeste une certaine agitation. Parmi eux, la mirtazapine, dont une étude parue dans The Lancet critique les bénéfices et souligne les dangers.

L'étude a été menée dans 26 centres au Royaume-Uni entre Janvier 2017 et Mars 2020. Elle s'appelle "Study of Mirtazapine for Agitated Behaviours in Dementia trial" et s'intéresse aux effets de la molécule contre l'agitation des personnes en état de démence et aux conséquences potentiellement néfastes de cette dernière. Les patients sur lesquels elle a été menée étaient au nombre de 204, ils avaient Alzheimer ou une démence proche de la maladie, estiment les médecins.

Inutile, voire dangereux

Une moitié des patients a reçu la molécule, l'autre n'avait qu'un placebo. Ni les patients, ni les médecins ne savaient à quel groupe ils appartenaient. Après 12 semaines, les premiers résultats ont pu être observés. Il en est ressorti que les malades sous mirtazapine n'étaient pas moins agités que ceux qui n'avaient eu aucune médication.

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Peu utile donc, et potentiellement néfaste. En effet, au bout de 16 semaines, le groupe médicamenté comptabilisait 7 décès, alors que seule 1 personne était morte dans le groupe sans médicament. Sans que cela ne puisse être complètement lié à la molécule, les médecins estiment que cet antidépresseur (...)

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