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«Le ministre du Logement veut-il que l’on expulse 400 000 familles ?» : la colère de la patronne du monde HLM

Getty / Christophe Lehenaff

C’est une annonce choc. Le ministre délégué au Logement Guillaume Kasbarian a dévoilé jeudi 11 avril dans le journal Les Echos les contours du futur projet de loi visant à augmenter l’offre de biens abordables. Il a notamment annoncé sa volonté de «mettre fin au logement social à vie» et «d'accélérer la file d’attente des logements HLM» en «réinterrogeant la pertinence à occuper un logement social de ceux qui ont largement dépassé les plafonds de revenus». Des propos qui ont choqué Marianne Louis, directrice générale de l’Union sociale pour l'habitat (USH), l'organisation représentative du secteur HLM. Cette dernière explique les raisons de son courroux à Capital.

Le ministre délégué au logement Guillaume Kasbarian a annoncé dans le journal Les Echos vouloir mettre au logement social à vie. Quelle est votre réaction ?

Marianne Louis : On est consterné et déçu. Le logement à vie, ça n'existe pas, contrairement à ce que peut dire le ministre. Les locataires des HLM sont déjà contrôlés, c’est dans la loi. Les organismes qui gèrent les logements sociaux demandent chaque année l’avis d'imposition aux locataires, ce qui permet de calculer un éventuel dépassement du plafond de ressources. Si c’est le cas, un supplément de loyer est appliqué. Cette loi existe depuis quasiment 30 ans.

Et si un locataire dépasse de plus de 150% le plafond de ressources pendant deux années consécutives, le bailleur doit lui demander de libérer l’appartement. Les propos du ministre donnent l’impression que (...)

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