Métro, RER : le classement des lignes les plus polluées à Paris
Ils sont “Verts de rage”. Ce mardi 23 mai, l’émission d’investigation au titre évocateur de France Télévisions a publié les résultats d’une nouvelle enquête sur la qualité de l’air dans le réseau de transport souterrain de la capitale. Et le résultat est sans appel : la qualité de l’air n’est pas bonne. Sous terre, au contact des souffleries, des rails et des wagons du métro ou du RER, la concentration de PM 2.5, de microscopiques particules fines qui s'immiscent dans notre organisme, est nettement supérieure à ce que préconise l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
En tout, ce sont douze journalistes armés de détecteurs qui ont mesuré cette concentration de nanoparticules dans 332 stations de métro et de RER des zones 1 et 2 pendant l’heure de pointe du soir, soit de 18 h à 20 h, pendant huit mois. “En parallèle, l’équipe a relevé à chaque fois les niveaux dans l’air extérieur, ajoute Martin Boudot, l’un des coréalisateurs de l’enquête, auprès de nos confrères du Parisien. Nous avons ainsi pu connaître la pollution engendrée uniquement par le trafic des trains.”
Résultat : selon les lignes, la surpollution de l’air n’est pas la même. Les lignes les plus affectées sont la 5 (+18 µg de PM 2.5 par m3 d’air), le RER A (+17) et la ligne 9 (+16). La pollution propre au réseau est donc en moyenne deux fois plus importante que les limites recommandées par l’OMS, et même cinq fois supérieure aux préconisations de l’organisme au sein de l’enceinte du réseau de transport (pollution due (...)
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