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Les taux d'intérêt négatifs vont-ils aussi toucher la France ?

Les taux d'intérêt négatifs vont-ils aussi toucher la France ?

En Belgique et au Danemark, les taux variables sont passés en territoire négatif, conduisant à un scénario invraisemblable : les banques payent les emprunteurs pour leur prêter de l'argent ! Une pratique que les établissements français veulent à tout prix éviter.

Et si les emprunteurs pouvaient bientôt bénéficier de taux d'intérêt négatifs ? Une question qui peut légitimement se poser en France, alors que certains de nos voisins européens sont dans cette situation pour le moins surprenante. Ainsi, les banques payent les ménages danois et belges pour leur prêter de l'argent ! C'est la "magie" des taux d'intérêt négatifs...

Ces emprunteurs en bénéficient aujourd'hui parce qu'ils ont souscrit des prêts à taux variables : des taux indexés sur ceux des banques centrales, dont les politiques monétaires restent ultra-accommodantes. En d'autres termes, elles maintiennent des taux d’intérêt faibles pour soutenir l’économie.

Les crédits en question concernent ceux conclus avant 2012. À l'époque, les banques danoises et belges ne fixaient pas de limite à la baisse pour ces taux révisables, comme c'est le cas aujourd'hui avec les taux dits "capés". Sans limite à la baisse, ils pouvaient très aisément passer en négatif. Pour éviter qu'un tel scénario se reproduise, affirme la presse locale, les contrats signés après 2012 excluent dès le départ la perspective de taux négatifs.

Et en France alors ?

Malheureusement, les emprunteurs français n'auront pas la même chance. Et ce pour plusieurs raisons : tout d'abord, le taux révisable est très peu pratiqué dans l'Hexagone, bien que certains craignent son retour. En mars dernier, il représentait seulement 0,4% de la production de crédits, selon une étude de l'observatoire Crédit Logement/CSA. Et même dans les meilleurs années (celles où les taux étaient relativement élevés), on a rarement dépassé les 20% (c'était en gros autour de 2004-2005).

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Ensuite, les banques françaises sont beaucoup plus prévoyantes que leurs homologues (...) Lire la suite sur LaVieImmo

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