Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 167,50
    -20,99 (-0,26 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 064,14
    -8,31 (-0,16 %)
     
  • Dow Jones

    40 003,59
    +134,21 (+0,34 %)
     
  • EUR/USD

    1,0872
    +0,0002 (+0,02 %)
     
  • Gold future

    2 419,80
    +34,30 (+1,44 %)
     
  • Bitcoin EUR

    61 467,61
    -245,26 (-0,40 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 366,94
    -6,90 (-0,50 %)
     
  • Pétrole WTI

    80,00
    +0,77 (+0,97 %)
     
  • DAX

    18 704,42
    -34,39 (-0,18 %)
     
  • FTSE 100

    8 420,26
    -18,39 (-0,22 %)
     
  • Nasdaq

    16 685,97
    -12,35 (-0,07 %)
     
  • S&P 500

    5 303,27
    +6,17 (+0,12 %)
     
  • Nikkei 225

    38 787,38
    -132,88 (-0,34 %)
     
  • HANG SENG

    19 553,61
    +177,08 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2706
    +0,0035 (+0,28 %)
     

L’inflation déçoit «mais la Fed ne compte pas revenir aux hausses de taux»

Al Drago/Bloomberg via Getty Images

Après avoir très fortement baissé en 2023, l’inflation aux Etats-Unis a quasiment fait du surplace sur le premier trimestre 2024. C’est notamment ce qui a conduit les marchés à anticiper beaucoup moins de baisses de taux directeurs de la Fed cette année. Certains membres de cette dernière ont même évoqué en avril de possibles hausses de taux si nécessaire. Le président de la Fed Jerome Powell était donc très attendu sur cette éventualité lors de sa conférence de presse du 1er mai.

Jerome Powell a justement utilisé cette conférence de presse pour évacuer les scénarios les plus «hawkish» (faucon, favorables à une politique monétaire assez restrictive). Il a ainsi rapidement indiqué qu’il était peu probable que le prochain mouvement de taux directeur soit une hausse et il est revenu plusieurs fois sur les conditions qui permettraient de commencer à baisser les taux. Certes, la désinflation a marqué un coup d’arrêt mais cela ne suffit pas du tout pour envisager un «pivot dans le pivot», c’est-à-dire le retour à un scénario de hausses de taux. Le biais reste à la baisse des taux.

La Fed est toutefois restée très floue sur toutes les questions à propos du timing de ces baisses de taux. Cela dépendra de la rapidité de la baisse de l’inflation mais aussi du marché du travail. Le fait que l’inflation converge malgré tout vers la cible des 2% (le principal indice d’inflation suivi par la Fed, le core PCE, était à 2,8% en mars) permet à la Fed de prendre à nouveau en considération le deuxième (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Boeing : pourquoi la rémunération de son patron suscite la polémique
CAC 40 : la Bourse de Paris dans le vert à l'aune d'une semaine très calme
Sauvetage en vue : Atos reçoit quatre propositions pour sortir de l'impasse financière
Toshiba, Mitsubishi, Kawasaki... ces géants méconnus de l'armement japonais
Or : «Les investisseurs sont pris à contre-pied par la remontée des taux à long terme»