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Jean Leonetti, le réconciliateur

Le maire d'Antibes aura la lourde tâche de superviser la désignation du candidat de la droite et du centre pour 2022.

Il n’a ni ambition présidentielle ni volonté d’entrer dans un gouvernement. Et c’est déjà beaucoup. « J’ai la réputation de faire voter les lois à l’unanimité, en cherchant toujours à rassembler », complète Jean Leonetti. À 72 ans, le maire d’Antibes, qui fut président des Républicains par intérim en 2019 après la démission de Laurent Wauquiez, a accepté une délicate mission : superviser le mode de désignation du candidat de la droite et du centre pour la présidentielle.

« J’ai déjà commencé à contacter les six à huit personnes qui peuvent prétendre entrer dans la compétition », explique l’ancien ministre des Affaires européennes. Le sondage auprès d’un panel de 15 000 personnes, évoqué par le patron du parti, Christian Jacob, pour voir si un candidat se dégage, ne sera pas déterminant dans le processus, assure-t-il, « sauf si l’un d’eux était à 70 % d’intentions de vote et les autres à moins de 10 %, mais ça ne sera pas le cas ». Et à ceux qui ironisent sur le fait que l’auteur de la loi sur la fin de vie se retrouve à la manœuvre, Leonetti réplique : « Ils oublient que je suis cardiologue réanimateur et que j’ai sauvé plus de vies que je n’en ai accompagné vers la fin… »


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