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Instagram, TikTok, Snapchat : les influenceurs accros à la publicité cachée

influenceuse
influenceuse

TikTok, Snapchat, Instagram, YouTube... Les réseaux sociaux les plus populaires sont des caisses de résonance aussi puissantes, si ce n'est plus, que les médias traditionnels, télévision en tête. Un pouvoir dont certains ont tendance à abuser, en se soustrayant aux règles qui encadrent la publicité pour les biens et les services.

Après des années de quasi-impunité, les « influenceurs », ces personnalités y disposant d'une très large audience, notamment auprès d'un public jeune, sont désormais dans le collimateur des pouvoirs publics. La Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) mène, depuis 2021, l'enquête sur les pratiques d'une soixantaine d'entre eux. Elle vient de rendre ses conclusions et elles sont inquiétantes : 60% des enquêtés ne respectent pas la réglementation, à divers degrés, alors qu'ils doivent s'y soumettre, au même titre que les acteurs traditionnels du secteur publicitaire.

De la publicité cachée à la promotion de pratiques interdites

Principal grief : tous ces influenceurs en anomalie ne respectent pas l'obligation de signaler à leur audience le caractère commercial de leurs publications. En clair, de ne pas dire explicitement qu'ils sont rémunérés pour recommander tel produit ou service. Certains n'hésitent pas, dans ces publicités déguisées, à mentir sur les propriétés du produit vendu, ou à recommander des produits et services risqués, comme les paris sportifs. Plus grave encore, certains influenceurs font la promotion de pratiques interdites, comme le détournement de l'argent des comptes personnels de formation (CPF), certaines interventions à visée esthétique potentiellement dangereuses pour la santé ou encore le « dropshipping », qui consiste pour un commerçant à vendre des produits qu'il n'a pas en stock.

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