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Immobilier : prix, taux... le point sur la conjoncture

Des prix au sommet, des crédits plus chers, une inflation record (elle vient de franchir le cap des 5%) qui lamine le pouvoir d’achat des candidats à l’accession et favorise leur attentisme : après une année 2021 exceptionnelle (1,2 million de ventes signées et 5,2% de hausse des prix), le secteur immobilier devrait marquer une pause. Rien d’alarmant néanmoins pour les investisseurs : non seulement la pierre reste le placement le plus rémunérateur du marché (autour de 4% bruts), mais avec des taux d’emprunt toujours inférieurs à 2% l’an, il n’y a aucun risque de voir la cote se replier.

Une accalmie se profile, après sept années de hausse dans la plupart des communes. Après la folie acheteuse des années 2015 à 2020, période durant laquelle le mètre carré s’est apprécié de 20 à 25% dans 80% des villes, on pouvait s’attendre à ce que le soufflé retombe. Raté : exception faite de Paris, en baisse de 1,5% (à 10 600 euros le mètre carré), les prix ont encore grimpé, de 4 à 6% en 2021, avec des pointes à plus de 12% dans des villes comme Caen, Le Mans ou Tours.

Certes, depuis 2022, le marché ralentit : les acheteurs, refroidis par la conjoncture maussade et les normes écoénergétiques à respecter , sont moins nombreux, et les tarifs davantage négociés. Conclusion des experts : même si les vendeurs vont garder la main, la hausse des prix ne dépassera pas 2% en 2022.

Un marché stabilisé, y compris à Paris et dans les grandes métropoles régionales. Inutile de miser sur une flambée des loyers (...)

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