Ile-de-France : les départements où la flambée des prix des maisons accélère encore
La même histoire continue, et s’amplifie : les acheteurs se ruent comme rarement ils ne s’étaient rués sur les maisons en Île-de-France. Les principales causes ? Le développement massif du télétravail suite à la pandémie, couplée à des envies accrues de logements plus spacieux, moins chers du mètre carré, et si possible dotés de jardin, de terrasse ou de balcon. Sur douze mois glissants, d’après les notaires du Grand Paris, les ventes de maisons ont ainsi été 9% plus nombreuses sur la période avril 2021-mars 2022 par rapport à la période avril 2020-mars 2021.
Logiquement, l’afflux de ces nouveaux acheteurs a emballé le marché. Au premier trimestre 2022, en moyenne, les prix des maisons franciliennes ont ainsi grimpé de 5,7% sur un an, contre 0,9% pour les appartements. “Aujourd’hui, la plupart des ventes d’appartements font l’objet de négociations avec les acheteurs, pas les ventes de maisons : on assiste vraiment à deux marchés complètement différenciés”, analyse Thierry Delesalle, le président de la Commission des statistiques immobilières des notaires du Grand Paris. Bref, vous l’aurez compris : les maisons franciliennes restent ultra-convoitées. Et d’après les projections des notaires, d’ailleurs, elles pourraient encore l’être davantage d’ici l’été prochain. En effet, pour juillet 2022, les notaires prévoient - sur la base des avant-contrats signés dans leurs études - de signer des transactions moyennes de l’ordre de 372.700 euros, contre 358.000 euros au premier trimestre (...)
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