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Hermès, LVMH, Kering... Les géants du luxe du CAC 40 risquent-ils de décevoir, comme Richemont et Burberry ?

Jeremy Moeller/Getty Images

Hermès, LVMH, Kering... Les ténors français du luxe, poids lourds du CAC 40, ont nettement repris de la hauteur à la Bourse de Paris, depuis les points bas majeurs d’octobre. Pour autant, les publications décevantes (aux yeux des investisseurs en actions) des concurrents Richemont (marque Cartier) et Burberry ont jeté un froid, alimentant les inquiétudes des actionnaires sur la trajectoire des ventes et des profits du secteur du luxe. Il faut toutefois se garder d’en tirer des conclusions hâtives, les performances des marques de luxe ayant été très différenciées, ces dernières années, avec notamment un grand écart entre un Hermès flamboyant et un Gucci (groupe Kering) à la peine.

«Certaines marques de luxe ont clairement mieux résisté que d’autres», observe à cet égard Catherine Garrigues, directrice de la stratégie d’investissement Conviction Actions européennes chez Allianz Global Investors, interrogée par Capital. Au vu de la réaction du marché lors de la publication des comptes du troisième trimestre de LVMH (l’action du n°1 du secteur avait clôturé dans le rouge vif le 11 octobre, avec une chute de plus de 6% en fin de séance de Bourse), le groupe a laissé ses actionnaires sur leur faim. De même, l’action Kering a été sanctionnée le 25 octobre, les comptes trimestriels ayant été eux aussi mal accueillis par les investisseurs en actions.

Au-delà de ces déceptions apparentes, Catherine Garrigues considère que la trajectoire des ventes observée dans le secteur du luxe reflète (...)

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