Publicité
La bourse ferme dans 6 h 32 min
  • CAC 40

    8 139,43
    +63,75 (+0,79 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 040,26
    +24,16 (+0,48 %)
     
  • Dow Jones

    38 884,26
    +31,99 (+0,08 %)
     
  • EUR/USD

    1,0747
    -0,0012 (-0,11 %)
     
  • Gold future

    2 316,60
    -7,60 (-0,33 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 880,61
    -1 263,97 (-2,14 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 291,33
    -3,35 (-0,26 %)
     
  • Pétrole WTI

    77,20
    -1,18 (-1,51 %)
     
  • DAX

    18 525,02
    +94,97 (+0,52 %)
     
  • FTSE 100

    8 337,42
    +23,75 (+0,29 %)
     
  • Nasdaq

    16 332,56
    -16,69 (-0,10 %)
     
  • S&P 500

    5 187,70
    +6,96 (+0,13 %)
     
  • Nikkei 225

    38 202,37
    -632,73 (-1,63 %)
     
  • HANG SENG

    18 313,86
    -165,51 (-0,90 %)
     
  • GBP/USD

    1,2475
    -0,0035 (-0,28 %)
     

Guerre en Ukraine : les pénuries tendent à s'accroître dans les magasins

Dans l'ensemble du territoire, plusieurs rayons de grandes surfaces se dégarnissent, voire restent vides. Le phénomène traduit des tensions multiples, entre inquiétude des consommateurs, guerre en Ukraine, hausse des coûts de production ou encore négociations commerciales ardues, sur fond de forte inflation. Dans les allées, que ce soit pour les huiles, la farine ou les pâtes, les mêmes signes d'agacement : comment faire son gâteau ou sa mayonnaise sans ces incontournables de la consommation?

Le panéliste spécialiste du secteur NielsenIQ note que la disponibilité des produits baisse depuis début mars, même si la tendance "demande à être confirmée dans les prochaines semaines". Les catégories les plus pénalisées sont les huiles, suivie par les pommes de terre surgelées, la farine, les pâtes et les oeufs. Et, selon NielsenIQ, 3,1% des produits ont manqué à un moment depuis le début de l'année, pendant 4 jours en moyenne. 60% de ces ruptures concernent les rayons épicerie et frais.

Pour les huiles, voire la farine, le phénomène des achats de précaution joue à plein : les consommateurs, inquiets d'entendre que l'offensive russe en Ukraine pourrait peser sur les stocks de blé ou d'huile de tournesol, dont le pays est un important exportateur, ont décidé d'anticiper en achetant plus qu'à l'accoutumée. La chaîne d'approvisionnement n'a pas suivi.

Mais ce n'est pas le seul facteur. Pour les oeufs par exemple, des éléments conjoncturels s'ajoutent, avec l'épidémie de grippe aviaire, mais (...)

PUBLICITÉ

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Arnaque en Martinique : avec 200 euros, on leur promettait 1.600 euros
Covid-19 : ce traitement autorisé en France est inefficace face au variant BA.2
Le Covid-19 recule encore à l'hôpital, tous les changements entrés en vigueur le 1er mai… Le flash éco du jour
Dans cette commune du Sud-Ouest, les déjections canines peuvent coûter très cher
Législatives : accord trouvé entre la France insoumise et les Verts