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Guerre en Ukraine : les pénuries tendent à s'accroître dans les magasins

Dans l'ensemble du territoire, plusieurs rayons de grandes surfaces se dégarnissent, voire restent vides. Le phénomène traduit des tensions multiples, entre inquiétude des consommateurs, guerre en Ukraine, hausse des coûts de production ou encore négociations commerciales ardues, sur fond de forte inflation. Dans les allées, que ce soit pour les huiles, la farine ou les pâtes, les mêmes signes d'agacement : comment faire son gâteau ou sa mayonnaise sans ces incontournables de la consommation?

Le panéliste spécialiste du secteur NielsenIQ note que la disponibilité des produits baisse depuis début mars, même si la tendance "demande à être confirmée dans les prochaines semaines". Les catégories les plus pénalisées sont les huiles, suivie par les pommes de terre surgelées, la farine, les pâtes et les oeufs. Et, selon NielsenIQ, 3,1% des produits ont manqué à un moment depuis le début de l'année, pendant 4 jours en moyenne. 60% de ces ruptures concernent les rayons épicerie et frais.

Pour les huiles, voire la farine, le phénomène des achats de précaution joue à plein : les consommateurs, inquiets d'entendre que l'offensive russe en Ukraine pourrait peser sur les stocks de blé ou d'huile de tournesol, dont le pays est un important exportateur, ont décidé d'anticiper en achetant plus qu'à l'accoutumée. La chaîne d'approvisionnement n'a pas suivi.

Mais ce n'est pas le seul facteur. Pour les oeufs par exemple, des éléments conjoncturels s'ajoutent, avec l'épidémie de grippe aviaire, mais (...)

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