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Un groupe de hackers infiltre un laboratoire nucléaire américain

PIXABAY

SiegeSec a encore frappé, et non sans humour. Des hackers se présentant ironiquement comme des «gay furries» ont infiltré avec succès l'Idaho National Laboratory le 21 novembre dernier, l'un des principaux laboratoires nucléaires américains. Comme l’explique Numerama, un «furry» est quelqu’un qui sexualise les personnages qui ont des caractéristiques à la fois humaines et animales. Sur un forum illégal, le groupe de hackers en question s’est moqué du laboratoire américain après l’avoir infiltré : «Tant de données croquantes, si vous tentez de créer des femmes chats, on le saura.»

Un humour de niche, commentent nos confrères, qui cache une affaire sérieuse. En infiltrant le labo, les «gay furries» ont dérobé puis exposé des données confidentielles et personnelles de milliers d'employés. Si visiblement, ils n’en ont rien fait par la suite, cela révèle la facilité déconcertante qu’ont certains à violer la sécurité d’institutions d’ampleur.

Plus que des criminels, le groupe s’apparente à ce que l’on appelle dans le jargon des «hacktivistes», contraction entre le mot «hacker» et le mot «activiste». Ceux-là se font appeler SiegeSec sur Telegram, indique Numerama. À la suite de l’infiltration du laboratoire américain, ils ont publiquement diffusé les données sensibles du service des ressources humaines.

Les informations divulguées comprennent les noms, dates de naissance, adresses électroniques, numéros de téléphone, adresses physiques et certains détails sur l'emploi des travailleurs (...)

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