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Grâce à des coquillages, des scientifiques pourraient résoudre le mystère du vol MH370 de la Malaysia Airlines

Laurent ERRERA / wikimedia commons

L'énigme du vol MH370 de la Malaysia Airlines, disparu en 2014 avec 239 passagers à bord, a ébranlé le monde. Neuf ans après la tragédie, l'espoir de résoudre ce mystère renaît grâce à une méthode pour le moins inattendue : l'étude des coquillages accrochés aux débris retrouvés par les équipes de recherche au fil des années, rapportait Ouest-France jeudi 24 août. Car la carcasse du Boeing 777 n’a jamais été retrouvée. L’appareil s'est volatilisé lors de son trajet de Kuala Lumpur à Pékin. Seuls des débris épars ont été dispersés dans l'océan Indien, laissant les enquêteurs et les familles des victimes dans l'obscurité.

Malgré des années de recherche intensives, interrompues en 2018 faute de résultats tangibles, les raisons de la disparition de l’avion restent enfouies sous les vagues. Du moins, jusqu’à aujourd’hui. Dans une étude publiée dans la revue Advances de l'American Geophysical Union mercredi 23 août dernier, une équipe de scientifiques s’est donc penchée sur les coquillages recouvrant les débris du Boeing, et plus particulièrement sur ceux qui recouvrent une partie de l’aile de l’avion – nommée flaperon – retrouvée sur l'île de la Réunion.

Ces coquilles, produites par des balanes, de crustacés marins, se sont révélées être bien plus que de simples éléments naturels. Comparables à des "enregistreurs médico-légaux" de la dérive des débris, selon le professeur Gregory Herbert, spécialiste en écologie marine, interrogé par National Geographic, elles renferment des informations (...)

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