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Le gouvernement menace de donner le nom des marques qui refusent de dégonfler les prix en supermarché

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Le "name and shame", ou stratégie de dernier recours. Le Gouvernement veut pousser à la réouverture des négociations entre les industriels de l'agroalimentaire et la grande distribution pour faire baisser les prix dans les supermarchés. "Si jamais ce n'est pas le cas dans les semaines qui viennent et qu'on remarque que des industriels [...] ne font pas d'effort", le Gouvernement a assuré qu'il n'hésiterait pas à avoir recours au "name and shame", autrement dit à la technique du "nommer et embarrasser", selon la ministre déléguée au Commerce, Olivia Grégoire. "On dira aux Français que telle ou telle marque ne veut pas négocier les prix à la baisse. Je ne suis pas sûre que ça fasse de la pub" aux marques citées a prévenu la ministre au micro de RTL ce mercredi 10 mai.

L'inflation alimentaire ne cesse d'augmenter. En avril, elle a connu une hausse de 17 % sur un an. C'est pourquoi, le Gouvernement souhaite accroître le pouvoir d'achat des Français. Début avril déjà, le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, et sa ministre déléguée au Commerce, avaient envoyé un courrier aux industriels pour les inviter à se remettre autour de la table des négociations avec les distributeurs. Ensemble, Bercy veut qu'ils revoient à la baisse les prix des produits vendus en magasins.

Le président de l'Association nationale des industries alimentaires (ANIA), Jean-Philippe André, est d'accord sur le principe. Il estime simplement que le timing n'est pas le bon. "L’inflation est un poison pour tout le (...)

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