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Galeries Lafayette : l’appel à l’aide des salariés après la validation du plan Ohayon

Capital

Bonne ou mauvaise nouvelle ? Jeudi 18 janvier, les salariés des 25 magasins Galeries Lafayette, détenus par Michel Ohayon depuis 2018 et réunis dans les entités Hermione Retail, ont appris que le tribunal de commerce de Bordeaux avait finalement validé le plan de continuation proposé par leur direction. Habituellement, dans une procédure de sauvegarde, les équipes espèrent cette décision, pour éviter un redressement judiciaire ou une liquidation. Mais dans ce cas précis, rien n’est moins sûr. «C’est encore un tour de passe-passe, nous ne sommes pas du tout sûrs que ce plan soit viable», note un salarié. Contactée par Capital, la direction générale d'Hermione Retail n'avait pas répondu à l'heure où nous publions.

Après les déboires de Camaïeu, Gap, Go Sport et La Grande Récré, elles aussi passées dans les mains de l’homme d’affaires bordelais, les équipes ne veulent plus croire les promesses de leur propriétaire et regrettent que les juges aient choisi de lui donner une nouvelle chance. Les créanciers ont désormais quatre semaines pour se prononcer sur les conditions qui leurs sont proposées. De source proche du dossier, on parle de 153 millions d’euros de dettes, dont 70% seraient effacées par la procédure et le reste remboursé sur un échéancier de dix ans. Le premier créancier de la structure n’est autre que le groupe Galeries Lafayette lui-même, avec une ardoise de près de 50 millions d’euros, selon nos informations. Le géant du boulevard Haussmann, qui avait cédé ces 25 magasins (...)

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