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Fleur Pellerin : «Alignons nos intérêts sur ceux de la planète»

Ed Alcock / MYOP pour Capital

Je suis issue d’une génération qui a sans doute tardé à ouvrir les yeux sur l’urgence climatique. Pour celles et ceux qui, comme moi, sont nés dans les années 1970, la voiture et l’avion étaient synonymes de liberté et de découverte. Des fraises et des courgettes, même en hiver ? La possibilité de manger varié et équilibré, toute l’année ? De la viande à tous les repas ? Une revanche sur les privations de la guerre que nos parents ou nos grands-parents avaient connues.

Ces progrès ont été rendus possibles grâce à une énergie abondante et peu chère. Même si nous commencions à être conscients du coût écologique de cette abondance, nous l’avons accueillie sans culpabilité.

Or, lorsque j’observe le comportement de consommation de mes enfants, qui ont 19, 22 et 25 ans, je réalise l’écart qui s’est creusé en l’espace d’une vingtaine d’années : ils n’ont pas le permis de conduire, ne consomment plus de viande, et ne prennent l’avion que s’ils y sont obligés, pour des raisons liées à leurs études, par exemple. Bien sûr, on m’objectera qu’ils peuvent se le permettre. Mais ils ont l’immense mérite de mettre en cohérence leur mode de vie avec leurs valeurs et leurs convictions. En les regardant vivre, j’ai réfléchi à la manière dont je pouvais contribuer, en dehors de la sphère publique que j’ai quittée, à la réévaluation de nos choix de consommation pour répondre à l’urgence écologique.

Au travers des fonds de Korelya dédiés à la technologie, nous soutenons de nouveaux business models qui (...)

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