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Eurovision : derrière le show TV, la machine à billets

Sarah Louise Bennett / EBU

Pour Benoît Blaszczyk, professeur de maths lillois de 55 ans, le compte à rebours a commencé. Du 7 au 11 mai prochains, le secrétaire de la branche française de l’Ogae, l’Organisation générale des amateurs de l’Eurovision, sera à Malmö, en Suède, pour assister aux demi-finales et à la finale du Concours Eurovision de la chanson, comme disent les puristes. Pour rien au monde il ne raterait l’apothéose du long processus de sélection des mélodies et des artistes, entamé dès que les projecteurs de Liverpool se sont éteints en mai 2023.

C’est aussi la 68e édition de cette compétition née en 1956 à Lugano, en Suisse, par la volonté du patron de l’Union européenne de radio-télévision (UER). Sept pays européens s’affrontaient alors en chansons, sous l'œil de 4 millions de téléspectateurs. Cette année, les représentants de 37 Etats membres de l’UER (ou affiliés, tel l’Australie), qui fédère 113 médias de service public, se succéderont sur la scène de la Malmö Arena où l’artiste français Slimane tentera de s’imposer, quarante-sept ans après la dernière victoire de la France avec «L’Oiseau et l’Enfant», chanté par Marie Myriam…

Comme tous les ans, la politique s’est invitée sous les paillettes. Une fois de plus, les chaînes russes, biélorusses et libyennes n’ont pas reçu de carton d’invitation. L’exclusion d’Israël, en guerre avec le Hamas, a été exigée par quelques diffuseurs nationaux nordiques, en vain. Les deux premières chansons proposées par Tel-Aviv ont été refusées pour cause de contenu (...)

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