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Ce député LFI, propriétaire de deux appartements, sous-louait son logement social à sa sœur

F. Muhammad / Pixabay

Nouveau rebondissement dans l’affaire impliquant Carlos Martens Bilongo. Alors que le député de La France insoumise (LFI) fait l’objet d’une enquête pour "fraude fiscale" et "blanchiment” depuis la semaine dernière, BFMTV révèle ce mercredi 17 mai que l’homme politique aurait bénéficié d’un logement social jusqu'en décembre 2022, à Villiers-le-Bel, dans le Val-d'Oise. "Oui, c'est vrai. J'ai vécu là-bas, a-t-il concédé. Mais tout est régularisé depuis décembre 2022”, soit six mois après son élection. L’homme politique se défend toutefois d'avoir "habité dans un logement social après avoir été élu”.

Selon lui, il aurait “bénéficié d'un logement social conformément à (ses) conditions de ressources", en 2013 "après le décès de [sa] mère, alors qu'[il] étai[t] apprenti". D’après les informations de BFMTV, il y aurait vécu une dizaine d'années. Rien de malhonnête, affirme cependant le député, qui assure avoir "parfaitement respecté la loi" dans un communiqué. L’homme était pourtant devenu propriétaire de deux autres appartements en 2018. Or, d’après la cellule anti-blanchiment de Bercy, en charge de l’enquête, Carlos Martens Bilongo n’aurait quitté le logement social qui fait litige qu'en 2020. Élément que le député n’a pas démenti.

"En 2018, j'ai acquis deux logements avec des prêts immobiliers ; l'un en investissement locatif […], l'autre pour mon futur logement personnel impliquant de lourds travaux qui ont été réalisés jusqu'à mon départ du logement social dans lequel je résidais (...)

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