Publicité
Marchés français ouverture 7 h 28 min
  • Dow Jones

    38 225,66
    +322,37 (+0,85 %)
     
  • Nasdaq

    15 840,96
    +235,48 (+1,51 %)
     
  • Nikkei 225

    38 236,07
    -37,98 (-0,10 %)
     
  • EUR/USD

    1,0733
    +0,0006 (+0,05 %)
     
  • HANG SENG

    18 207,13
    +444,10 (+2,50 %)
     
  • Bitcoin EUR

    55 243,20
    +1 339,26 (+2,48 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 277,98
    +7,24 (+0,57 %)
     
  • S&P 500

    5 064,20
    +45,81 (+0,91 %)
     

La croissance devrait ralentir à 0,5 % en 2023, selon la Banque de France

Wikimedia

La croissance de l'économie française devrait fortement décélérer, de 2,6 % en 2022 à 0,5 % en 2023, avant de rebondir à 1,8 % en 2024, selon les projections macroéconomiques publiées jeudi 15 septembre par la Banque de France. La banque centrale souligne que l'incertitude est très forte et publie une fourchette d'évolution du PIB comprise entre + 0,8 % et - 0,5 % pour 2023. Elle n'exclut pas une "récession technique" de "deux ou trois trimestres de baisse du PIB aux alentours de l'hiver 2022-23", a indiqué le directeur général de l'institution, Olivier Garnier, lors d'une conférence de presse.

Quel que soit le scénario retenu pour l'an prochain, la Banque de France se montre plus pessimiste que le gouvernement, qui prévoit 2,7 % de croissance pour cette année et 1 % pour l'an prochain, en tablant sur la résilience de l'économie française. Pour la banque centrale, on a "une résilience qui est meilleure que prévu au cours de la plus grande partie de 2022 ; un net ralentissement à partir de l'hiver prochain", dont l'ampleur est "entourée d'incertitudes très larges" et enfin "une reprise de l'expansion économique en 2024".

Cette incertitude touche aussi le niveau de l'inflation qui, après avoir atteint 5,8 % cette année, évoluera l'an prochain dans une fourchette comprise entre 4,2 % et 6,9 %, puis retombera à 2,7 % en 2024. "Même si la guerre (en Ukraine, NDLR) devait malheureusement perdurer, les prix de l'énergie finiront inévitablement par se stabiliser, voire baisser", estime (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

VTC : un trafic de cartes de chauffeurs à plus de 3 millions d’euros
Covid-19 : la 8e vague démarre, notre carte de France
Chasse : l'étonnante proposition du Sénat pour mieux encadrer la pratique
"Les rois de l'arnaque" : Marco Mouly affirme avoir remboursé près de 87 millions d'euros
L’ancien président de l’Unef perd son procès contre le Quai d’Orsay