Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 088,24
    +71,59 (+0,89 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 006,85
    +67,84 (+1,37 %)
     
  • Dow Jones

    38 239,66
    +153,86 (+0,40 %)
     
  • EUR/USD

    1,0699
    -0,0034 (-0,32 %)
     
  • Gold future

    2 349,60
    +7,10 (+0,30 %)
     
  • Bitcoin EUR

    58 853,85
    -1 247,15 (-2,08 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 304,48
    -92,06 (-6,59 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,66
    +0,09 (+0,11 %)
     
  • DAX

    18 161,01
    +243,73 (+1,36 %)
     
  • FTSE 100

    8 139,83
    +60,97 (+0,75 %)
     
  • Nasdaq

    15 927,90
    +316,14 (+2,03 %)
     
  • S&P 500

    5 099,96
    +51,54 (+1,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2494
    -0,0017 (-0,13 %)
     

Crédit immobilier : en août, les banques devraient geler leur taux… et leur production

Les banques sont prises en étau. Elles bénéficient d’abord de bonnes nouvelles. Conformément aux décisions de la Banque centrale, leurs dépôts ne sont plus taxés depuis le 27 juillet et elles ont en théorie le droit de prêter à des taux plus élevés. De quoi relever un peu leur marge.

Pourtant, elles n’en profiteront pas pour relever leur taux de crédits immobiliers. Ils oscillent entre 1,8% et 2,2% en juillet pour les prêts de 20 ans et ne devraient pas bouger pour le mois suivant, prévient Sandrine Allonier, la porte-parole du court Vousfinancer : “Il devrait y avoir un statu quo en août par manque de personnel, mai aussi par l’impossibilité de traiter les dossiers.”

Le plus gros obstacle rencontré par les banques (et les clients) est structurel et concerne le taux d’usure. Ce taux plafond au-delà duquel les établissements ont interdiction de prêter est encore trop faible et rend leurs marges… négatives. Il est actuellement fixé à 2,57% pour les prêts de 20 ans et plus. “Lorsqu’on décroche un taux à 2%, l’assurance, les frais de dossiers et de garantie font rapidement dépasser l’usure”, alerte Maël Bernier, porte-parole du courtier Meilleurtaux. "Au-delà de 1,8%, il devient très difficile de se maintenir en dessous du taux d’usure”, abonde Sandrine Allonier.

"Le refinancement des banques coûte maintenant beaucoup plus cher. Elles sont incapables d’intégrer cette hausse dans leur taux à cause de l’usure” explique Caroline Arnould, directrice du développement du courtier Cafpi. (...)

PUBLICITÉ

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Immobilier : les rares villes où les prix des appartements stagnent depuis un an
Immobilier : report de l'audit énergétique obligatoire pour les maisons énergivores ?
Achat immobilier : les mensualités flambent depuis un an dans les grandes villes
Immobilier : un courriel suffit-il pour se rétracter d’un compromis ?
Vacances : le prix moyen des locations en août dans près de 170 destinations touristiques françaises