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CPF : le projet de reste à charge risque de pénaliser beaucoup de Français

kues1/Adobe Stock

Une pratique encore peu répandue. D’après une étude dévoilée par la Dares, le service statistiques du ministère du Travail, ce vendredi 17 février, seuls 8% des personnes devant entrer en formation en septembre 2022 suite à un achat via leur CPF ont utilisé leur carte bancaire pour compléter le financement. Peu de Français sont donc déjà concernés par le principe du “reste à charge” sur le compte personnel de formation (CPF), que le gouvernement veut rendre obligatoire pour tous, ou presque (hors demandeurs d’emploi et salariés bénéficiant d’un abondement de leur employeur, pour le moment).

Dans le détail, 85% des personnes entrant en formation en septembre dernier dans le cadre du CPF ont payé l’intégralité de la formation grâce aux sommes disponibles sur leur compte. Pour les 15% restants, il a fallu une intervention extérieure : 8% venant des titulaires eux-mêmes, donc, 4% de Pôle emploi et 3% d’un opérateur de compétences (Opco) ou de l’Agefiph, une association qui agit pour favoriser l’activité professionnelle des travailleurs handicapés. Notons par ailleurs qu’aucun Français commençant une formation en septembre grâce à son CPF n’a bénéficié d’un abondement de son employeur.

Le montant moyen du reste à charge payé par les titulaires eux-mêmes s’élève à 620 euros. Cette somme est à comparer au montant moyen des formations ayant débuté en septembre 2022 et ayant fait l’objet d’une participation financière des usagers du CPF : 2.000 euros. À noter que pour plus d’un Français (...)

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