La Coupe du monde de rugby va doper l’économie française, voici comment
La Coupe du monde de rugby tire à sa fin. Cette compétition au rayonnement international a suscité un intérêt marqué et ses enjeux économiques sont désormais «considérables», relève le courtier eToro, qui souligne surtout un impact notable pour le PIB de la France, pays hôte de l’événement, en dépit de son élimination récente en quarts de finale. Rien que les retombées directes pour l’économie française (dont les 2,5 millions de billets vendus pour les 48 matchs) sont évaluées à 1,2 milliard d’euros par le comité d'organisation.
Profitant de l’aubaine, les compagnies aériennes et les hôtels ont en outre profité de l’afflux de touristes pour augmenter leurs tarifs. Kayak relève ainsi que les prix des hôtels devraient augmenter au total de 14% sur les 51 jours de la Coupe du monde de rugby, tandis que ceux des vols d'avions devraient s’envoler de près de 30%. Et l’Etat français se frotte les mains, Deloitte évaluant entre 0,1 et 0,12 milliard d'euros les taxes additionnelles comme la TVA, les taxes de séjour et d'aéroport générées par l’afflux d’amateurs de rugby.
Alors que la présente édition de la Coupe du monde de rugby n’a pas nécessité de gros investissements en infrastructures (constructions de stades, transports publics, etc.), la France devrait en outre bénéficier de retombées économiques indirectes, telles que la perspective d’un surcroît d’attractivité, juge eToro. Le marché de l’emploi a aussi bien profité de l'événement, avec de nombreuses créations de postes dans les (...)
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