Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 088,24
    +71,59 (+0,89 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 006,85
    +67,84 (+1,37 %)
     
  • Dow Jones

    38 242,72
    +156,92 (+0,41 %)
     
  • EUR/USD

    1,0701
    -0,0032 (-0,30 %)
     
  • Gold future

    2 350,00
    +7,50 (+0,32 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 696,12
    -706,59 (-1,17 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 330,24
    -66,30 (-4,57 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,65
    +0,08 (+0,10 %)
     
  • DAX

    18 161,01
    +243,73 (+1,36 %)
     
  • FTSE 100

    8 139,83
    +60,97 (+0,75 %)
     
  • Nasdaq

    15 928,21
    +316,45 (+2,03 %)
     
  • S&P 500

    5 100,66
    +52,24 (+1,03 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2495
    -0,0016 (-0,13 %)
     

Cette comète pourrait devenir visible à l’œil nu dès janvier 2023

2023 ne commence pas de la plus belle des manières pour Meta. La maison mère de Facebook vient de connaître le sort que lui réservait la Commission irlandaise pour la protection des données (DPC), l’équivalent en France de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Verdict de l’autorité ? Le groupe américain devra régler deux nouvelles amendes.

La DPC relève que Meta a « enfreint ses obligations en matière de transparence », en ne transmettant pas aux internautes les informations sur lesquelles Meta se base pour ses activités. Par ailleurs, il a été jugé que Meta ne disposait pas d’une base juridique adéquate (défaut de consentement des internautes) pour traiter leurs données personnelles dans le cadre de la publicité.

Le verdict de la DPC a été prononcé le 4 janvier. Dans le détail, l’institution a prononcé deux sanctions pécuniaires contre deux filiales du groupe américain. La première, d’un montant de 210 millions d’euros, concerne Facebook. La seconde, de 180 millions d’euros, cible Instagram (le réseau social spécialisé dans le partage de photos et de vidéos). Total à payer : 390 millions d’euros.

Une troisième amende est en chemin

En réalité, cela ne va pas s’arrêter là. On sait que la troisième filiale de l’entreprise, WhatsApp (une messagerie instantanée proposant un haut degré de sécurité), est aussi dans le viseur de la DPC. On s’attend à découvrir une nouvelle amende contre Meta dans les prochains jours.

[Lire la suite]