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Colère des agriculteurs : les jolies affaires d’Arnaud Rousseau, leader de la FNSEA et patron d'Avril

ARNAUD FINISTRE/AFP

La crise agricole s’est, semble-t-il, arrêtée aux portes de l’empire d’Arnaud Rousseau (50 ans), le leader du syndicat majoritaire du secteur, la FNSEA, et surtout patron du puissant groupe agroalimentaire Avril. Ce géant français des huiles et protéines végétales (Lesieur, Puget…) surfe même sur des résultats records, grâce à la hausse des prix des matières premières de son secteur (colza, tournesol) et a ainsi vu son Ebitda (excédent brut d’exploitation) bondir de +64% pour atteindre 583 millions d’euros en 2022. «La progression vient clairement du prix», expliquait ainsi au printemps dernier le directeur financier d’Avril, Aymeric Mongeaud. Juste avant que n’éclate la guerre en Ukraine, son groupe avait «sécurisé ses approvisionnements» en graines de tournesol ou de colza, destinées à fabriquer huile pour la grande consommation, protéines pour le bétail ou agrocarburants.

Avril a ainsi pu surfer sur la hausse générale des coûts de production. Et a même profité de la crise pour diversifier son portefeuille. Rien qu’en 2022, le groupe a acquis six sociétés, dont le transformateur de riz et légumes secs Soufflet Alimentaire (marque Vivien Paille), l'autrichien Vegini (protéines végétales) ou encore la start-up Eccelenza Italia (sauces Italians do it better), bien implantée en grande distribution. Dans le même temps, il a vendu ses activités de transformation animale dans le porc (Porcgros et Aberra) et les œufs Matines. Un empire de l’agroalimentaire qui pesait 9 milliards d’euros (...)

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