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CAC 40 : croissance, immobilier… la Chine va-t-elle faire plonger la Bourse ?

Pixabay

La Chine donne depuis quelque temps des sueurs froides aux investisseurs en actions de la planète, alors que la croissance économique de l’Empire du Milieu bat de l’aile et que Pékin a évoqué en juillet de "nouvelles difficultés". Les exportations de la Chine vers les pays riches occidentaux ont subi récemment un décrochage spectaculaire, le chômage des jeunes est très élevé, la consommation atone, l’industrie en berne, et la deuxième puissance économique mondiale a même basculé dans la déflation (avec un recul des prix à la consommation).

Il y a, bien évidemment, “des interrogations concernant la croissance économique chinoise”, souligne John Plassard, spécialiste en investissement chez Mirabaud Banque, interrogé par Capital. Ce qu’il faut bien comprendre, toutefois, c'est que le ralentissement chinois “n’est en rien une surprise”, relève de son côté Christopher Dembik, responsable de la recherche macroéconomique chez Saxo Bank, aussi sollicité par notre rédaction. C’est la conséquence d’un déclin structurel amorcé après la crise financière mondiale de 2008-2009, quand la Chine a fait le choix d’une relance massive via le crédit pour éviter la récession, fait valoir l’expert, pour qui la crise du Covid-19 “a été un accélérateur de l’affaiblissement chinois mais en aucun cas la cause”.

La fin de la politique zéro-Covid de Pékin “n’a pas vraiment eu l’effet escompté”, puisque les Chinois, après près de 3 ans de confinement, “n'ont toujours pas retrouvé la confiance qui leur permettrait (...)

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