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Bonus électrique : la liste des éligibles connue en décembre

Le Jeep Avenger, élu voiture de l'année 2023, pourrait avoir à souffrir de l'éco-score français car l'usine polonaise qui le fabrique est alimentée par une centrale électrique au charbon.  - Credit:Jeep
Le Jeep Avenger, élu voiture de l'année 2023, pourrait avoir à souffrir de l'éco-score français car l'usine polonaise qui le fabrique est alimentée par une centrale électrique au charbon. - Credit:Jeep

Effervescence dans les bureaux de vente des constructeurs automobiles. Le gouvernement vient de révéler les modalités d'application du bonus 2024, soit les critères qu'il faudra respecter absolument pour bénéficier de cette remise sur l'achat d'une voiture électrique. Actuellement de 5 000 euros (7 000 pour les ménages modestes) alloués à tout véhicule électrique inférieur ou égal à 47 000 euros au tarif, le bonus va devenir beaucoup plus sélectif. Et cela va faire mal car, en ne considérant plus seulement les émissions « en roulant » du véhicule mais ses émissions cumulées sur tout le cycle de vie, beaucoup de voitures, dont des françaises, seront impactées.

Et pas seulement la Dacia Spring de Renault parce qu'elle est fabriquée en Chine ou la Jeep Avenger de Stellantis, qui est fabriquée en Pologne (avec des Fiat) dans une usine alimentée en énergie par des centrales au charbon. En effet, chaque modèle électrique utilisant une batterie d'origine chinoise pourra ou non passer sous la règle selon le mode vérifié de fabrication. En théorie, les fabricants devraient faire un déclaratif qui pourrait être contrôlé par des inspecteurs à condition que ceux-ci puissent accéder aux sites de production. L'enquête sur la fuite d'un virus du Covid depuis un laboratoire chinois à Wuhan autorise déjà à la circonspection, au moins pour ce pays, sur la fiabilité du résultat.

Les constructeurs eux-mêmes pourront contester la non-éligibilité de leurs modèles en amenant les p [...] Lire la suite