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Arthur vs Nespresso : la «guerre des dosettes» n’est pas terminée

Foc Kan/WireImage

Dans ce qui est surnommé la «guerre des dosettes», l'animateur accuse la société détenue par Nestlé de sabotage et réclame 286 millions d'euros de dommages et intérêts. Selon les plaignants, Nespresso aurait entravé l'activité d'Ethical Coffee Company (ECC), pour préserver son hégémonie sur le marché des capsules de café. La procédure regroupe onze créanciers d'ECC, une entreprise fondée en 2008 par un ancien cadre de Nespresso avec pour objectif de commercialiser des capsules biodégradables, moins chères et compatibles avec les machines à café de son ancien employeur, rapporte Entrevue le 8 mai.

Dès son lancement, ECC a dû faire face à de nombreuses déconvenues, notamment des modifications répétées des machines Nespresso pour entraver la compatibilité avec les capsules concurrentes. Mais épuisée par la multiplication des procédures en justice dans ce qui avait été surnommé «la guerre des dosettes», ECC avait dû cesser son activité en 2017 avant que sa faillite ne soit prononcée en 2018. Après une décennie d'affrontements judiciaires, les plaignants ont finalement obtenu une victoire importante en 2021. Après avoir d'abord réclamé 298 millions d'euros, ils exigent désormais une compensation de 286 millions pour les préjudices subis, arguant que c'est ce montant correspond aux torts infligés par Nespresso aux investisseurs de ECC. De son côté, Nespresso dit avoir pris connaissance de la plainte sans faire de commentaires, affirmant seulement qu'elle défendra sa position en justice. (...)

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