Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 517,68
    +90,66 (+1,22 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 862,50
    +51,22 (+1,06 %)
     
  • Dow Jones

    40 589,34
    +654,27 (+1,64 %)
     
  • EUR/USD

    1,0858
    +0,0008 (+0,08 %)
     
  • Gold future

    2 385,70
    +32,20 (+1,37 %)
     
  • Bitcoin EUR

    62 661,32
    +1 058,90 (+1,72 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 380,37
    +49,77 (+3,74 %)
     
  • Pétrole WTI

    76,44
    -1,84 (-2,35 %)
     
  • DAX

    18 417,55
    +118,83 (+0,65 %)
     
  • FTSE 100

    8 285,71
    +99,36 (+1,21 %)
     
  • Nasdaq

    17 357,88
    +176,16 (+1,03 %)
     
  • S&P 500

    5 459,10
    +59,88 (+1,11 %)
     
  • Nikkei 225

    37 667,41
    -202,10 (-0,53 %)
     
  • HANG SENG

    17 021,31
    +16,34 (+0,10 %)
     
  • GBP/USD

    1,2873
    +0,0019 (+0,14 %)
     

Allergies : de gros problèmes d'approvisionnement pour ce dispositif médicamenteux

CarrieCaptured / Getty Images

L'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) alerte sur des tensions d'approvisionnement touchant des auto-injecteurs d'adrénaline après l'arrêt mondial temporaire d'un modèle de ces stylos utilisés en cas de réaction allergique, dans un communiqué publié lundi 22 mai. "L'arrêt mondial temporaire de la distribution d'Emerade entraîne des tensions d'approvisionnement sur les autres auto-injecteurs d'adrénaline (Anapen, Epipen et Jext)", expose l'ANSM.

Depuis le 4 mai, les auto-injecteurs d'adrénaline Emerade, commercialisés en France depuis 2021, ne sont plus distribués en pharmacie "en raison d'un risque de dysfonctionnement et par mesure de précaution", précise l'agence, tout en qualifiant ce risque de "faible". Le fabricant des stylos Emerade, l'entreprise canadienne Bausch, a observé qu'"après une chute d'une hauteur de 1 mètre, le nombre d'auto-injecteurs ne s'activant plus ou se déclenchant prématurément était légèrement supérieur à la norme", détaille l'ANSM, affirmant n'avoir "reçu aucun signalement en lien avec ce risque".

Il a été par conséquent décidé "de ne pas rappeler les auto-injecteurs Emerade déjà en possession des patients, compte tenu du risque faible de dysfonctionnement et pour éviter que les patients ne se retrouvent sans adrénaline", indique le gendarme du médicament. L'ANSM préconise par ailleurs aux médecins "de ne prescrire un auto-injecteur d'une autre marque qu'à la date de péremption des auto-injecteurs Emerade".

Elle recommande aux patients de (...)

PUBLICITÉ

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Matières premières : le "calme avant la tempête" pour les métaux rares
Les arrêts de travail explosent, la taxe foncière va flamber… Le flash éco du jour
Le gouvernement dévoile son plan de lutte contre le travail illégal
Tennis : un joueur français écope d'une amende très salée pour antijeu
Médicaments : des centaines de milliers de Français accros aux opioïdes