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Adolescent tué à Nanterre : Emmanuel Macron fait part de son « émotion »

Avec AFP,Naila Khelifi
© Laurent Coust-Pool / SIPA

Le président « a fait part de son émotion après la mort de ce jeune de 17 ans, il a parlé évidemment de la famille, des amis, des Français », a déclaré le porte-parole du gouvernement Olivier Véran à l'issue du Conseil des ministres.

Emmanuel Macron a fait part ce mercredi 28 juin en Conseil des ministres de son « émotion » après la mort d'un adolescent de 17 ans, tué par un policier lors d'un refus d'obtempérer, a assuré le porte-parole du gouvernement Olivier Véran.

Lire aussi >>   La hausse des violences policières dénoncée dans un rapport de la CNCDH

Olivier Véran a également lancé un « appel au calme » tandis que le drame a entraîné dans la nuit des violences urbaines à Nanterre et ses alentours.

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Le président de la République « a fait part de son émotion après la mort de ce jeune de 17 ans, il a parlé évidemment de la famille, des amis, des Français », a déclaré le porte-parole du gouvernement à l'issue du Conseil des ministres. Le chef de l'Etat a aussi exprimé le « besoin d'avoir des réponses » et le « besoin que la justice fasse son travail ».

« Une émotion très vive »

« Nous comprenons la volonté d'avoir des réponses et nous voulons qu'elles puissent être données en toute transparence, à mesure que les éléments sont connus », a insisté Olivier Véran, lançant « un appel évidemment au calme dans cette situation très particulière avec une émotion très vive ».

Interrogé de multiples fois, notamment sur la demande de la gauche de revoir la loi de 2017 concernant le refus d'obtempérer, Olivier Véran a dit refuser « d'ouvrir quelque débat que ce soit ». « Il nous faut vraiment de la mesure », a-t-il relevé, refusant de « participer...

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