Yahoo Finance Volkswagen Golf e-Tsi : meilleure que la Peugeot 308 ?
ESSAI AUTO DU WEEK-END – La Golf a 50 ans. Pour fêter son anniversaire, Volkswagen remanie son best-seller qui s’est déjà vendu à 37 millions d’exemplaires. Une excellente voiture, extrêmement homogène et rigoureuse. A défaut d’être amusante. Dommage : malgré un nouvel infodivertissement, le tout digital exaspère vite au quotidien.
50 ans déjà. C’est la Volkswagen la plus vendue dans le monde, avec 37 millions d’exemplaires au compteur. Plus que la célèbre Coccinelle (21,5 millions entre 1945 et 2003). La Golf est même le troisième modèle le plus populaire de la planète depuis les origines, derrière la Toyota Corolla japonaise et le pick-up américain Ford F. Pour fêter l’événement, Volkswagen restyle la Golf VIII. Nouveauté ? Bof. A l’extérieur, les retouches sont minimes, avec un bouclier avant revu, des feux différents et, surtout, un nouvel infodivertissement. C’est maigre, d’autant que la Golf VIII elle-même était déjà une simple évolution en 2019 de la septième génération lancée en 2012. Décidément. Le groupe de Wolfsburg en crise ne veut clairement pas trop investir sur son best-seller.
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Logique, alors que, pour la première fois de son histoire, le premier constructeur automobile européen brandit la menace de fermetures d’usines et licenciements secs en Europe, remettant en cause un accord datant de 1994 censé garantir les emplois jusqu’en 2029. Il faut qu’il y ait péril en la demeure pour que Volkswagen s’attaque à un tel tabou outre-Rhin !
On retrouve dans cette Golf l'allure classique telle qu’on l’aime. Crédit: VW
Archi-classique et bien sous tout rapport
On retrouve donc cette bonne vieille Golf telle qu’on l’aime, classique dans son allure, qui conserve un air de famille avec toutes les générations qui l’ont précédée, depuis le modèle originel de 1974, alors dessiné par le maître designer Giorgetto Giugiaro. L’intérieur reste aussi dans la lignée des Golf d’antan. Fonctionnel, rigoureux et austère.
La Golf VIII avait toutefois surpris désagréablement plus d’un utilisateur par la subite conversion du constructeur à une digitalisation complexe et aléatoire, qui dégradait fortement l’ergonomie exemplaire de la Golf VII. Sans parler des bugs qui déparaient l’image de qualité de la firme de Basse Saxe.
Mais l’ergonomie reste ir[...]
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