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Son salaire de ministre ne lui permet pas de payer sa maison : il démissionne

Richard Townshend/Wikimedia Commons

Être député et ministre n’est pas un long fleuve tranquille au Royaume-Uni. C’est en tout cas ce que laisse entendre George Freeman dans le Guardian. Celui qui était ministre d’État aux Affaires, à l’Énergie et à la Stratégie industrielle jusqu’au mois de novembre dernier a décidé de jeter l’éponge, à cause de son salaire trop faible. Malgré une rémunération annuelle de 120 000 livres (soit environ 140 000 euros), le député-ministre a indiqué que cela ne lui permettait plus de rembourser son hypothèque, passée de 800 à 2 000 livres par mois. «Je ne pouvais tout simplement pas me permettre de la payer avec un salaire ministériel», a-t-il justifié.

Selon lui, il s’agit d’une «économie politique 2.0» et seules quelques personnes pourront faire de la politique désormais, à savoir les «donateurs de fonds spéculatifs, les jeunes façonneurs d’image et les syndicalistes défaillants», selon ses termes. Toujours d’après George Freeman, cinq personnes ont abandonné des postes dans des ministères ces derniers temps, car elles étaient «épuisées, abîmées et déprimées». Mais dans le cas du député britannique, il y a quelques éléments à prendre en compte. L’ancien ministre a eu des frais à payer à la suite de son divorce avec une avocate en 2014.

Il doit donc depuis régler des frais d’éducation pour ses deux enfants, une sorte de pension mensuelle. Mais, dans le passé, il a également reçu plusieurs indemnités à chaque fois qu’il a été ministre, indique un document du Labour (parti). Comme lorsqu’il (...)

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