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Rénovation énergétique : le gigantesque bide de l’éco-PTZ MaPrimeRénov’

Unsplash

Il se voulait un pilier de la rénovation énergétique en France, c'est pourtant un échec complet. Pour encourager les Français à rénover leurs logements, un éco-prêt à taux zéro (ou éco-PTZ) a été mis en place, valable jusqu’au 31 décembre 2023, qui offre des conditions d'emprunt très avantageuses. Malgré son attrait certain, le dispositif est un échec absolu. En effet, comme le relate Le Parisien le 23 avril, seuls 130 prêts de ce type ont été accordés en six mois.

L’éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) est un emprunt sans intérêts de remboursement proposé par les banques afin de financer certains travaux de rénovation et d’amélioration de la performance énergétique. L’emprunteur n’a alors qu’à rembourser le montant emprunté, soit 30.000 euros maximum sans intérêts (une limite portée à 50.000 euros dans certains cas, depuis le 1er janvier 2022). Cette aide peut être accordée alors que le propriétaire occupe déjà le bien ou durant la phase d’acquisition, si le logement acheté doit faire l’objet de travaux éligibles au dispositif.

Contrairement à certaines aides à la rénovation, comme celles versées par l’Agence nationale de l’habitat (Anah), l’octroi de l’éco-PTZ n’est pas soumis à des conditions de revenus. En revanche, seuls certains travaux peuvent être financés par ce biais. Selon l’opération, des critères de performance énergétique minimale peuvent également être imposés.

Or, d'après Le Parisien, seul un nombre minuscule, en l'occurrence 130, de prêts ont été accordés. En cause, (...)

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