Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    38 092,14
    +188,85 (+0,50 %)
     
  • Nasdaq

    15 752,49
    +147,01 (+0,94 %)
     
  • Nikkei 225

    38 236,07
    -37,98 (-0,10 %)
     
  • EUR/USD

    1,0709
    -0,0009 (-0,09 %)
     
  • HANG SENG

    18 207,13
    +444,10 (+2,50 %)
     
  • Bitcoin EUR

    55 354,28
    +2 287,16 (+4,31 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 278,46
    +7,72 (+0,61 %)
     
  • S&P 500

    5 042,48
    +24,09 (+0,48 %)
     

Présidentielle : pourquoi les banques boudent les politiques

Le Pen Macron
Le Pen Macron

Le sujet est revenu sur la table après plus d'une heure de débat face à Emmanuel Macron mercredi soir. Si Marine Le Pen a dû emprunter à titre personnel plus de 10,6 millions d'euros dans une banque hongroise (MKB Bank Nyrt, selon sa déclaration de patrimoine transmise à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique), c'est « parce qu'aucune banque française n'a voulu [lui] accorder de prêt. » Précisément six banques auxquelles un dossier a été soumis, selon le rapport de Jean-Raphaël Alventosa, médiateur du crédit aux candidats et aux partis politiques, qui se félicite tout de même que son dossier n'ait cette fois pas été totalement ignoré par les établissements alors qu'il n'existe en France aucun droit au crédit. En 2017, c'est le micro parti de Jean-Marie Le Pen qui avait octroyé un prêt. Des fonds avaient aussi été obtenus de la part d'une banque russe mais, depuis 5 ans, la loi a été durcie pour éviter les dons déguisés et prévenir toute ingérence étrangère dans la vie politique française. Surtout, dans le jargon, Marine Le Pen est une PPE, une personne politiquement exposée.

Lire la suite sur MoneyVox

Voir également
- N26, Revolut, PayPal : comment déclarer vos comptes étrangers aux impôts
- Assurance auto : voici les régions où il ne faut pas habiter pour faire des économies
- Fiscalité de l'épargne : pourquoi la flat tax va rester inscrite dans le marbre