“Hermès risque de plonger en Bourse, gare à la fin des boosters”
Hermès aura bientôt 200 ans, et comme le disait récemment son dirigeant Axel Dumas, de la sixième génération, ses artisans utilisent des aiguilles pas très différentes d'il y a deux mille ans. La société suit donc son développement avec un seul mot d'ordre : maintenir la qualité d'exception de ses produits. Par conséquent, Hermès aujourd'hui n'est pas très différent du Hermès d'hier. En Bourse, l'action Hermès, c'est une autre histoire. En dix ans, elle s'est faite, telle Challenger, propulsée dans la stratosphère grâce à quatre boosters consécutifs. Avant cela, dans les années 2000, Hermès était la belle société que nous connaissons aujourd'hui, et le marché la valorisait 5 fois les ventes (autrement dit, Hermès pesait en Bourse à hauteur de 5 fois son chiffre d’affaires, NDLR).
Avec la tentative de rachat d’Hermès par Bernard Arnault, le flottant se réduit, le cours de Bourse monte, la bagarre judiciaire se complexifie et finit par un accord amenant Arnault à se retirer. L'action redevient investissable, le marché s'engouffre : la valeur d’Hermès en Bourse passe à 7 fois les ventes.
Sur la séance du 18 juin se traite 15 fois le volume (...)
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