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Google accusé d’avoir créé des emplois fictifs pour empêcher certains talents d’aller chez ses concurrents

Pixabay

Des dommages collatéraux. Le produit de la “vanité” de leurs employés. C’est de cette façon que l’ancien patron de PayPal, Keith Rabois, a qualifié les milliers de salariés sacrifiés au cours des énormes campagnes de licenciement dans le monde de la tech actuellement en cours aux États-Unis, comme chez Meta ou Google, rapporte Fortune. D’après ce vieil ami d’Elon Musk, avec qui il travaillait dans les années 2000 chez PayPal, les grandes firmes de la Silicon Valley n’auraient à l’époque jamais dû embaucher à tour de bras. Le résultat aujourd’hui, d’après les deux anciens collègues, ce sont des milliers de postes inutiles, des personnes embauchées pour faire du “faux travail”, dont les entreprises sont nécessairement obligées de se séparer désormais.

Nécessairement, vraiment ? Chez Alphabet, le propriétaire de Google, ce sont 12.000 personnes qui ont perdu leur emploi rien qu’en janvier. Une formalité pour le P.-D.G. du groupe, Sundar Pichai, qui affirmait récemment prendre “l’entière responsabilité” de ce grand ménage. Même refrain parmi les employés de Meta – la maison mère de Facebook –, décimés : 11.000 employés sur le carreau en 2022, soit l'équivalent d’une économie de 88.000 dollars pour chacun d’entre eux par an, s'est justifié le groupe. Et visiblement, ça n’est que le début.

Mais alors, pourquoi autant de licenciements ? La faute à la “vanité” des anciens patrons de ces grosses boîtes, si l’on en croit l’analyse de Keith Rabois. C’est-à-dire à leur ego, leur besoin de (...)

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