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Google accusé d’avoir entraîné son IA avec ChatGPT

Alexandra_Koch / Pixabay

C'est une guerre sans armes, du moins mortelles. Depuis quelque temps, les géants du Net s’affrontent autour du développement des intelligences artificielles (IA), perçues comme l’avenir du monde de la tech’. Dans ce contexte de tension, tous les coups semblent permis, y compris l’espionnage industriel et le vol de données ou d’informations. Le 29 mars dernier, l’Américain Google a été épinglé par le magazine californien The Information, accusé d’avoir utilisé le chatbot ChatGPT pour entraîner son propre agent conversationnel, nommé Bard.

Avec l’association de Google Brain, à l’origine de TensorFlow et AutoML, et de la startup DeepMind, récemment rachetée par Google, le groupe s’est focalisé sur un projet : Gemini. Quelque peu contraintes à travailler ensemble, les deux entités se seraient prêté main-forte autour d’un ennemi commun, la société Open IA, à l’origine de ChatGPT et de sa version plus récente, GPT-4, rapporte Numerama. Seulement voilà, suivant ce cap, Google se serait servi des informations se trouvant sur ShareGPT pour développer son propre robot.

Ce site recense en effet les conversations les “plus folles” de ChatGPT, donnant accès à 116.000 d’entre elles. Une mine d’or pour le géant américain, qui se serait copieusement servi et inspiré du logiciel concurrent. Des accusations que la firme d’Alphabet nie en bloc, raconte le site américain spécialisé en nouvelles technologies The Verge. “Bard n’est pas entraîné sur des données provenant de ShareGPT ou de ChatGPT”, (...)

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