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Fermeture de Bridgestone : le plan de sauvegarde de l'emploi a été signé

Les derniers espoirs d'un maintien de l'usine ont été douchés en novembre dernier avec la confirmation de la fermeture.

Cinq mois après l'annonce de la fermeture du site de Béthune, qui emploie 863 personnes, le PSE a été signé vendredi par les syndicats et la direction.

Il y a cinq mois, l'annonce faisait l'effet d'une bombe. L'usine de Bridgestone, à Béthune, qui emploie 863 personnes, allait fermer. Une annonce qui avait provoqué un tollé dans une partie de la classe politique. Vendredi 12 février, les syndicats et la direction ont fini par signer le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE). Celui-ci prévoit un accompagnement des salariés et ce, alors qu'aucun projet de reprise totale des activités du site du Pas-de-Calais ne semble jusqu'à présent émerger. L'usine est implantée depuis 60 ans à Béthune, ville de l'ancien bassin minier français. Un accord unanime a été trouvé sur les mesures sociales d'accompagnement des salariés de l'unique usine française du géant japonais du pneumatique.

« Ce n'est pas une joie parce que l'usine ferme, parce qu'il n'y a pas de repreneur, mais on a obtenu des niveaux d'indemnisation comme on n'en a jamais vus », s'est félicité auprès de l'Agence France-Presse l'avocat de l'intersyndicale, Me Stéphane Ducrocq. Des budgets de formation pouvant aller jusqu'à 20 000 euros par salarié « permettent d'espérer que chaque salarié qui aura besoin d'une formation pourra la faire », a-t-il ajouté, rendant hommage aux syndicats qui ont « bossé comme des dingues », au cours de 32 journées pleines de négociations, pour obtenir « la réparation la plus importante possible ».

Le gouvernement était monté au créneau

Après une dernière réunion du Conseil économique et social (CSE) le 26 février, le plan sera tran [...]

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