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La BCE craint l'impact de la guerre en Ukraine et envoie l'euro au tapis

L'euro est à la peine. La monnaie unique plonge (-1%) sous 1,08 dollar pour la première fois en deux ans 2020, alors que la BCE devrait rester beaucoup moins faucon que la Fed malgré une inflation record. À l'issue du Conseil des gouverneurs de la BCE jeudi, dont les observateurs n'attendaient pas de décision majeure, l'institution a réitéré son signal de mars en faveur de la stabilité des prix, annonçant que les achats nets d'actifs, effectués dans le cadre de l'APP, prendront fin au "troisième trimestre".

Et il est toujours prévu que la première hausse des taux intervienne "quelque temps après", sans plus de précision. La BCE les a maintenus jeudi à leur niveau historiquement bas. La patience de la BCE interroge alors que la Fed, mais également les banques centrales d'autres grandes économies (Canada, Royaume-Uni, Corée du Sud) ont entamé une hausse des taux. "La BCE semble partie pour monter ses taux, non seulement plus tard, mais également dans une moindre ampleur, que la Fed", a commenté Holger Schmieding, analyste chez Berenberg, qui note que "contrairement aux États-Unis, l'inflation n'est pas créée en zone euro": la hausse des prix européens est due aux cours des matières premières plus qu'à des hausses de salaires ou à une demande élevée.

La zone euro est en outre dans une position "bien plus incertaine que les autres (régions), étant donné sa proximité et son exposition à la guerre en Ukraine", souligne Craig Erlam, analyste chez Oanda.

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