Assurance vie, compte-titres... Ces pratiques commerciales douteuses qui agacent
Non. Quand il s’agit de vendre un placement à un particulier, tous les coups ne sont pas permis pour arriver à ses fins. Il incombe aux établissements financiers de vérifier que l’épargnant dispose des connaissances suffisantes. Ils doivent également lui fournir une information lisible, complète et non biaisée, et l'aiguiller en tenant compte de sa situation. La réalité est parfois tout autre et certains scandales retentissants étroitement liés au non-respect de ces obligations, comme l’illustre, par exemple, l’affaire Aristophil, du nom de cette entreprise qui proposait d’investir dans des vieux manuscrits à un prix largement surestimé. Sans en arriver à de telles extrémités, certaines pratiques commerciales émanant d’acteurs agréés peuvent également nuire à la bonne et entière compréhension des produits d’épargne vendus aux particuliers. C’est ce qu’il ressort de plusieurs études récentes des gendarmes financiers français.
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