Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 088,24
    +71,59 (+0,89 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 006,85
    +67,84 (+1,37 %)
     
  • Dow Jones

    38 239,66
    +153,86 (+0,40 %)
     
  • EUR/USD

    1,0699
    -0,0034 (-0,32 %)
     
  • Gold future

    2 349,60
    +7,10 (+0,30 %)
     
  • Bitcoin EUR

    58 620,97
    -1 381,85 (-2,30 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 304,48
    -92,06 (-6,59 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,66
    +0,09 (+0,11 %)
     
  • DAX

    18 161,01
    +243,73 (+1,36 %)
     
  • FTSE 100

    8 139,83
    +60,97 (+0,75 %)
     
  • Nasdaq

    15 927,90
    +316,14 (+2,03 %)
     
  • S&P 500

    5 099,96
    +51,54 (+1,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2494
    -0,0017 (-0,13 %)
     

Assurance chômage, arrêts de travail… Bruno Le Maire veut tailler dans ces dépenses

Assurance chômage, arrêts de travail… Bruno Le Maire veut tailler dans ces dépenses

Mauvaise nouvelle confirmée. L’Insee a annoncé, ce mardi 26 mars, que «le déficit public pour 2023 s’établit à 154 milliards d’euros, soit 5,5% du produit intérieur brut (PIB)». Un chiffre supérieur de 15,8 milliards d’euros aux prévisions du gouvernement qui anticipait jusque-là un déficit public de 4,9%. «Ce dérapage, longtemps occulté mais maintenant avéré, est le résultat d'une politique budgétaire désastreuse qui depuis des années ne pose aucune limite à la dépense publique, voulant faire de la politique du chèque une solution à tous les problèmes sans préoccupation des équilibres financiers les plus élémentaires ni souci du lendemain», a vivement réagi dans un communiqué la présidence du Sénat. Le président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, a lui-même déploré un dérapage «important», et «très très rare» du déficit.

Selon le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, si «la croissance a été au rendez-vous en 2023», l’aggravation du déficit public s’explique surtout par un trou dans les recettes fiscales de «21 milliards d’euros» l’an passé. «Nous avons peut-être sous-estimé le fait que l'inflation baisse plus vite que ce à quoi nous nous étions attendus : ça fait moins de recettes de TVA, moins de masse salariale, moins de recettes sur la masse salariale, moins d'impôt sur le revenu, moins d'impôt sur les sociétés», a-t-il détaillé ce mardi dans un échange avec la presse. Malgré cette situation très dégradée, le patron de Bercy n’entend pas renoncer à son objectif : ramener (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Private equity : investir dans le non coté sans être riche, c’est possible
Budget : ces astuces qui peuvent vous aider à faire des économies
Succession : «L'assurance vie est-elle intéressante pour transmettre à ses petits-enfants après 70 ans ?»
EuroMillions : il empoche un million et garde son ticket dans une cachette insolite
SNCF : découvrez cette astuce pour réduire le prix de vos billets