Publicité
La bourse ferme dans 2 h 23 min
  • CAC 40

    7 494,55
    -23,13 (-0,31 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 859,95
    -2,55 (-0,05 %)
     
  • Dow Jones

    40 589,34
    +654,24 (+1,64 %)
     
  • EUR/USD

    1,0818
    -0,0040 (-0,37 %)
     
  • Gold future

    2 392,00
    +11,00 (+0,46 %)
     
  • Bitcoin EUR

    64 669,55
    +1 775,94 (+2,82 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 412,67
    +36,96 (+2,69 %)
     
  • Pétrole WTI

    77,02
    -0,14 (-0,18 %)
     
  • DAX

    18 465,46
    +47,91 (+0,26 %)
     
  • FTSE 100

    8 357,00
    +71,29 (+0,86 %)
     
  • Nasdaq

    17 357,88
    +176,18 (+1,03 %)
     
  • S&P 500

    5 459,10
    +59,88 (+1,11 %)
     
  • Nikkei 225

    38 468,63
    +801,22 (+2,13 %)
     
  • HANG SENG

    17 238,34
    +217,03 (+1,28 %)
     
  • GBP/USD

    1,2837
    -0,0036 (-0,28 %)
     

Arnaque aux sentiments : méfiez-vous de ces «coucou maman»

koldunova_anna/Adobe Stock

Quelle mère n’a jamais eu le souhait de venir en aide à son enfant ? C’est tout ce sur quoi repose cette escroquerie qu’on pourrait qualifier d’escroquerie aux bons sentiments. Comme le rapporte TF1 Info, cette nouvelle arnaque repose sur un principe simple. Un simple SMS du type : «Coucou maman, mon téléphone est cassé, voici mon nouveau numéro, peux-tu m’envoyer un message sur WhatsApp ?» De là, Valérie, la personne interrogée par TF1, est déjà tombée dans le piège.

Lorsque son prétendu fils (en réalité, un arnaqueur) lui demande un virement de 1460 euros, la mère s’exécute de bonne foi. Puis il lui en demande un second, de 1900 euros. Et c’est là qu’elle se rend compte de la terrible vérité. Elle vient de se faire arnaquer. Derrière le message : une escroquerie avec usurpation d’identité, qui joue sur certaines cordes sensibles, sentimentales, familiales. «L’escroc emploie des mots familiers, “maman”, “gros bisous” ou “maison”. Tout ça, c’est une espèce de cocon familial que nous, les mamans, on essaie de protéger», déplore-t-elle.

Dans la majorité des cas, le remboursement est quasiment impossible. Selon Me Emma Leoty, avocate en droit de la consommation et en droit bancaire, cela s’explique par le fait que la victime a effectué le virement de son plein gré. Sa banque a donc tout le loisir de prétendre qu’elle ne peut pas la rembourser, puisqu’il y a eu consentement au virement. TF1 Info recommande tout de même de porter plainte, en réunissant au préalable toutes les preuves (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Loto : à leur retour de vacances, ils apprennent qu’ils ont gagné 18 millions
Epargne salariale : voici 3 nouveaux cas de déblocage anticipé de votre PEE
Euro 2024 : la blessure de Pedri va rapporter une coquette somme au Barça
Investissement Pinel : ne vous laissez pas aveugler par la réduction d’impôt
Bourse : faut-il faire confiance aux robo-advisors ?