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Les antibiotiques, ce n'est pas automatique... mais bientôt à l'unité

Andrzej Tokarski

Alors que la fin de l’été est doucement en train de s’installer, les maladies virales font leur grand retour. La France s'apprête ainsi à traverser la saison du Covid-19, des grippes et des angines. Mais un problème persiste malgré les gestes barrières désormais intégrés par le plus grand nombre... Un problème sur lequel aucun de nous, simples consommateurs, ne pouvons agir : les pénuries de médicaments. Depuis l’année dernière, les officines sont régulièrement victimes de ruptures de stock, allant du simple paracétamol à l’antibiotique le plus prescrit sur le territoire, l’amoxicilline.

Pour tenter de lutter contre le phénomène, le gouvernement a décidé d’agir en prenant une série de mesures présentées par franceinfo ce mercredi 20 septembre, selon une source officielle. L’exécutif va ainsi rendre obligatoire la distribution à l'unité de certains antibiotiques en rupture de stock. Cela signifie qu’en cas de pénurie, les patients pourront obtenir des cachets à l’unité auprès de leur pharmacien en présentant une ordonnance. Une méthode qui vise aussi à éviter les boîtes à moitié pleines abandonnées dans les placards avant de finir à la poubelle.

Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau annonçait par ailleurs sur franceinfo la possibilité pour les pharmacies de délivrer des antibiotiques sans ordonnance, à condition que le patient fasse au préalable un test. Une mesure qui divise dans le corps médical, tout comme la vente de cachets à l’unité. Quant aux industriels, le gouvernement (...)

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