Poutine se défend d'avoir un palais, l'équipe de Navalny appelle à manifester
Vladimir Poutine lors d'une videoconférence le 25 janvier 2021 depuis une résidence d'Etat à Zavidovo (nord-ouest de Moscou)
SOCIETE - Hasbro veut donner un coup de jeune à son jouet culte mais a embrouillé tout le monde avec une communication confuse
Wipro Limited (NYSE : WIT, BSE : 507685, NSE : WIPRO), une société mondiale de technologie de l’information, de conseils et de services de processus d'affaires, fête le 25e anniversaire de son partenariat d'affaires avec Cisco (NASDAQ : CSCO), le leader mondial de la technologie qui propulse l’Internet. Pour commémorer cette étape importante, Wipro lance l’unité commerciale Cisco qui se concentrera sur le développement et l’adoption de solutions de transformation numériques de bout en bout exploitant les technologies Cisco pour les clients. Cette initiative stratégique démontre l’engagement de Wipro envers sa relation d'affaires avec Cisco. Il s’agit également d’un accélérateur de croissance pour leur partenariat à 360 degrés fructueux et bien établi de plusieurs années.
Bruno Le Maire retrouve ce vendredi ses homologues ministres des Finances du G20. Avec l'espoir de relations apaisées, voire même productives, avec les États-Unis.
Les citoyens de la Convention pour le Climat se réunissent pour la dernière fois afin d'évaluer ce week-end les réponses du gouvernement à leurs propositions.
Au Niger, deux morts et près de 470 arrestations, c'est le dernier bilan, donné par le ministère de l'Intérieur, des troubles qui ont eu lieu à Niamey, depuis l'annonce mardi par la Céni des résultats provisoires de la présidentielle. Lors d'un point presse cet après-midi, le ministre de l'Intérieur Alkache Alhada a expliqué que certains hommes politiques avaient été arrêtés et qu'Hama Amadou, opposant historique, était recherché. Par ailleurs, plusieurs maisons ont été attaquées et incendiées. Parmi elles, le domicile du correspondant de RFI Moussa Kaka. Pour le ministre de l'Intérieur Alkache Alhada, Hama Amadou entretient la tension dans le pays depuis des mois par ses diverses prises de paroles publiques. Il pointe notamment le discours du le 21 août dernier où l'opposant appelle à une alternance du pouvoir avant même l'élection présidentielle. « Comment peut-on, avant les élections, organiser une alternance autrement que par la force, autrement que par un coup d'État en fait ? Le 22 septembre, il disait que si sa candidature n'était pas retenue, ce qui était arrivé au Mali arrivera au Niger. Il est arrivé au Mali... un coup d'État... Je ne fais même pas cas des propos racistes qu'il a proférés, ce n'est pas responsable. »Dans l'après-midi ce jeudi, le domicile d'Hama Amadou est encerclé par des dizaines de véhicules de la gendarmerie et des forces anti-terroristes. Présent sur place, son avocat Maître Boubacar Mossi apprend que ces hommes en uniforme sont venus vérifier qu'Hama Amadou se trouve chez lui. Une démarche en dehors de toute légalité selon le conseil : « Ca veut dire qu'ils sont venus pour l'arrêter. Et si c'est pour l'arrêter, il faut bien un mandat d'arrêt. Si c'est pour faire de la perquisition, là aussi il faut un titre de perquisition. Ils sont venus au mépris de la loi. Dans ces conditions, s'ils le prennent, vous comprenez bien que c'est un enlèvement. »Cet après-midi, Paris a encouragé l'ensemble des parties au « dialogue » et « à recourir aux voies légales pour régler tout différend ». Dans un communiqué commun, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest et l'ONU ont condamné « appelé toutes les parties prenantes à la retenue ».Human Rights Watch s'inquiète des violences commises par les manifestants mais aussi de la répression organisée par les autorités. Hier, depuis mardi, 468 personnes avaient été arrêtées et l'accès à internet est toujours restreint dans le pays.Le domicile du correspondant de RFI incendiéCe jeudi matin, en circulant dans la capitale on pouvait voir que plusieurs quartiers étaient calmes, rapporte notre envoyée spéciale à Niamey, Magali Lagrange. Les gens circulaient normalement, vaquaient à leurs occupations. Cependant, par endroit, il y a des traces de pneus brûlés par terre ou encore des pavés sur la chaussée. Et par ci par là, des axes sont barrés par des groupes de jeunes en colère qui empêchent les voitures de passer. De leur côté, les forces de sécurité sont visibles à plusieurs endroits.Plusieurs domiciles, dont celui du correspondant de RFI Moussa Kaka ont été incendiés. Ibrahim Harouna, président de la Maison de la presse nigérienne, condamne l'agression de notre correspondant et dénonce un climat d'intimidation pour la presse depuis le début de la campagne : « Ce sont des attaques d'intimidations, contre la liberté de la presse. Bien avant cela, notre confrère Moussa Kaka avait reçu des menaces, et d'autres journalistes avaient aussi été menacés, avec des messages, des appels. C'est vraiment les hommes politiques qui, à travers leurs propos, exposent les journalistes. Si, dans vos propos, vous faites comprendre à vos militants que l'autre est contre vous, vous exposer les journalistes. Et pourtant, les journalistes nigériens, dans le cadre du processus électoral, ont fait leur travail de manière professionnelle. Nous allons donc appeler toute la classe politique à plus de responsabilités. »Arnaud Froger, responsable du bureau Afrique à Reporters sans frontières, s'interroge sur les responsabilités cette attaque. RSF « demande aux responsables politiques une condamnation de ces agissements et aux autorités de tout mettre en oeuvre pour retrouver les auteurs de cette attaque et ceux des menaces qui ont visé ce journaliste ».Cette situation dure depuis plusieurs jours maintenant depuis la proclamation des résultats globaux provisoires de la présidentielle mardi. Ces résultats donnent vainqueur Mohamed Bazoum avec près de 56% des voix face à Mahamane Ousmane (44%). Des chiffes que l’opposition, qui revendique la victoire, conteste.Mercredi après-midi, c’est Moumouni Boureima, dit « Tchanga », le général à la retraite et ancien chef d’État major du président Mamadou Tandja qui a été interpellé à Niamey. Il serait soupçonné d’être un meneur de ces troubles. Pas de chiffres, pas de précisions officielles pour l’instant sur les arrestations qui ont eu lieu.Mercredi soir, le procureur de la République s’est exprimé à la télévision nationale. Il a affirmé que suite aux troubles, plusieurs personnes avaient été interpellées et que d’autres étaient recherchées, sans donner davantage de précisions. D’ici peu, le ministre de l’Intérieur devrait donner plus d’informations à la presse.
Pour renforcer sa plateforme caribéenne et ajouter une couverture supplémentaire à la périphérie sud de la région, Andersen Global à choisi de se développer à Saint-Vincent-et-les Grenadines en collaborant avec le nouveau cabinet Baptiste & Co. Law Firm.
Rouvrir les activités et aussi les frontières, préparer la saison estivale en rétablissant la libre-circulation entre pays d’Europe, c’est une grande partie de la préoccupation actuelle des Vingt-Sept. Réunis pour leur réunion désormais mensuelle en visioconférence, ils ont débattu de l’opportunité d’un passeport vaccinal pour franchir les frontières. Paris et Berlin fixent les mois d’été comme horizon pour y parvenir, mais d’autres pays veulent accélérer le pas Avec notre correspondant à Bruxelles, Pierre BenazetLes Européens parlent désormais de certificats sanitaires. C’est l’expression qui remplace celle du passeport vaccinal préconisé par les pays les plus dépendants du tourisme. Les positions des Ving-Sept divergent. D’une part, parce que pour l’instant l’immunité procurée par le vaccin n’est pas prouvée à long terme, d’autre part, parce que tout le monde ne sera pas vacciné de sitôt selon le président français et que la mesure deviendrait donc injuste.Emmanuel Macron refuse que le certificat sanitaire devienne une condition pour pouvoir franchir les frontières européennes : « Il y a évidemment entre pays européens des questions éthiques, des questions juridiques à règler et en particulier cette même question pour notre jeunesse parce que ce certificat de vaccination ne doit pas être, si je puis dire, une condition. Ça doit nous aider à organiser des libres mouvements. Moi je n'accepterai pas un système où en quelque sorte on conditionne l'accès à tel ou tel pays à un tel certificat. Nos jeunes n'auront pas été vaccinés fin juin-début juillet. On ne va pas leur dire " vous ne pouvez pas circuler d'une région à une autre en aucun cas parce que vous n'avez pas un certificat de vaccination ". »L’Allemagne est tout aussi sceptique que la France, mais les Européens ont tout de même chargé la Commission de commencer à préparer les certificats sanitaires. Ils pourraient être prêts d’ici trois mois. Les pays touristiques comme Chypre ou la Grèce ne sont plus les seuls à les préconiser puisque par exemple le Danemark la Bulgarie ou l’Autriche y sont désormais favorables.► À lire aussi : L'idée d'un passeport vaccinal divise en France et en EuropeBerlin a commencé les préparatifsLa chancelière allemande Angela Merkel a confirmé à l'issue de la réunion que Berlin a déjà commencé les préparatifs pour un tel certificat.« Tout le monde est d’accord pour dire que nous en avons besoin. La Commission européenne s’est chargée des préparatifs techniques. Il faut créer une plateforme commune pour que tous les passeports de vaccination nationaux soient compatibles au niveau européen. La Commission européenne aura besoin d’environ trois mois pour développer les bases techniques. Nous, en Allemagne, nous avons décidé de développer un tel certificat. Je pense que tous les pays membres auront leur propre passeport. Dans chaque pays, ce document comportera les mêmes informations. Ceci devrait permettre de voyager à l’intérieur de l’Union européenne. Ensuite, il faut voir s’il sera également possible de faciliter l’entrée dans l’Union européenne depuis des pays tiers. Mais tous ont souligné aujourd’hui que ce passeport n’est pas encore d’actualité vu que si peu de nos citoyens sont déjà vaccinés. Mais nous devons nous préparer. »
ETATS-UNIS - John Geddert, entraîneur de l'équipe américaine de gymnastique championne olympique en 2012, avait des liens avec l'ex-docteur Larry Nassar
John Geddert, ancien entraîneur de l'équipe américaine de gymnastique aux Jeux de Londres en 2012, s'est suicidé jeudi après l'annonce de poursuites pour agressions sexuelles, trafic d'êtres humains et travail forcé.
Les 150 citoyens, qui avaient pour mission de proposer des mesures destinées à faire diminuer les émissions de gaz à effet de serre françaises de 40% d’ici 2030, dans un esprit de justice sociale, vont faire un bilan de la mise en œuvre de leurs mesures, en particulier dans ce projet de loi. Pour respecter l’Accord de Paris, la France s’est engagée à faire baisser ses émissions de gaz à effet de serre de 40% d’ici 2030.Mais le projet de loi Climat sera-t-il suffisant pour respecter cet engagement ? « Aujourd’hui cette loi climat toute seule ne permet pas de répondre à cet objectif. C'est très clair. Après, il faut aussi prendre en compte que cette loi Climat, ce ne sont que 40% de nos mesures. Il y a 60% de nos mesures qui seront passés ailleurs, dans un projet de loi finances, dans un projet de loi européen, dans un projet de loi constitutionnelle. Il y a beaucoup de nos mesures qui devront passer par ailleurs», clarifie Grégoire Fraty, membre de la Convention citoyenne pour le climat (CCC). Beaucoup des mesures ne sont d'ailleurs pas d'ordre national mais d'ordre régional estime Grégoire Fraty qui assure que les 150 seront attentifs aux politiques régionales qui seront mises en place. « Aujourd'hui on peut douter de l'atteinte de ces objectifs mais je me refuse à ne regarder que la loi climat. La loi climat est une partie de la réponse. Mais ce n'est pas la totalité de la réponse. ce serait aussi oublier 80 de nos mesures qui se retrouvent ailleurs et moi je ne les oublie pas. On va les suivre. Et après on fera les comptes », martèle ce membre de la Convention citoyenne.La mission des citoyens s’arrête ce week-end, mais ils continueront à suivre la prise en compte de leurs propositions notamment avec l’association qu’ils ont créée « les 150 ». ► À écouter aussi : Accord de Paris: cinq ans après, ça chauffe pour le climat
Carrière, vie amoureuse, anecdotes... Yahoo vous propose de parcourir, en images et en 1 minute, les moments forts de la vie de Robert Pattinson.
Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, a indiqué jeudi que la ville allait proposer un confinement de trois semaines face à l'aggravation de l'épidémie de Covid-19.
Stéphane Haussoulier, président du Conseil départemental de la Somme, souhaite des moyens médicaux complémentaires dans les territoires en "situation difficile" face à l'épidémie de Covid-19.
Après 20 ans au service de la beauté, Becca Cosmetics ferme ses portes.
La mise en œuvre d'un tel instrument "va poser beaucoup de questions techniques, de respect des données individuelles, d'organisation de nos libertés", selon le chef de l'Etat.
Ce jeudi 25 février, la famille Garcia-Thivenin a posté des photos de leurs vacances aux Maldives. L'occasion pour Jessica Thivenin de partager sur Instagram des clichés avec son fils Maylone... et son baby bump !
Alors que la justice russe vient de confirmer en appel sa peine de deux ans et demi d’emprisonnement, retour sur l’incroyable destin d’Alexeï Navalny, le principal opposant à Vladimir Poutine. Qui est cet avocat de 44 ans qui a fait de la lutte anti-corruption son credo ? Comment a-t-il conquis l’adhésion d’une partie du peuple russe ? Des attaques frontales contre le pouvoir en place De la tentative d’empoisonnement qui a failli lui coûter la vie en août 2020 à son arrestation à l’aéroport de Moscou, de ses vidéos chocs sur les réseaux sociaux à ses attaques frontales contre le pouvoir en place, "Envoyé spécial" retrace le parcours de cet homme dont l’incarcération a soulevé un mouvement de contestation sans précédent en Russie. Un reportage de Pierre Monégier, Luc Lacroix et Max Paquereau diffusé dans "Envoyé spécial" le 25 février 2021. > Les replays des magazines d'info de France Télévisions sont disponibles sur le site de Franceinfo et son application mobile (iOS & Android), rubrique "Magazines
François Grosdidier a réagi aux propos du Premier ministre qui avait balayé au cours de son point presse la proposition des élus locaux de mettre en place un "confinement dur et immédiat"
Ils seront d'abord administrés "avec prudence dans un cadre hospitalier pour des patients âgés de 80 ans et plus, et qui ont des troubles de l'immunité", a précisé Olivier Véran.
Le sommet sur la crise centrafricaine est prévu à Luanda (Angola) mais la date n’est pas encore confirmée. Les consultations se poursuivent. L’un des points de blocages concerne la présence ou non de l’ancien président François Bozizé accusé de soutenir les groupes armés. Les autorités de Bangui s’y opposent et affirment qu’il n’est pas question de parler avec ceux qui ont pris les armes. Pendant ce temps, sur le terrain, les forces pro-gouvernementales poursuivent leur contre-offensive. Mercredi, elles ont repris la ville de Bossangoa à 280 km au nord de Bangui.« Quand ils sont entrés dans Bossangoa, nous nous sommes retirés. François Bozizé était en lieu sûr, assez loin de là, quelque part dans le nord-ouest », affirme une source de la Coalition des patriotes pour le changement, qui ne veut pas en dire plus pour raison de sécurité. « Nous savons qu’il est la cible numéro 1 du régime, qu’ils veulent avoir sa tête coûte que coûte mais nous le protégeons », précise ce responsable.Selon plusieurs sources, François Bozizé est très prudent, il ne dort quasiment jamais deux nuits d’affilée au même endroit. Il redoute d’être tracé avec un téléphone. Il craint également d’être repéré par des drones russes.D’après une source bien informée, les forces pro-gouvernementales étaient à Bézambé hier, son village non loin de Bossangoa. L’ancien président passerait le plus clair de son temps dans le nord-ouest, non loin de la frontière tchadienne mais il pourrait se trouver actuellement au sud du Tchad pour des consultations en vue du prochain sommet de Luanda.